Le Mossad, la CIA et la NSA, impliqués dans la planification et l’exécution du 11 Septembre. Israel’s National Intelligence Agency (Mossad) Was Behind September 11th 2001 Attacks – FOX NEWS REPORTS

Publié le par José Pedro

crash sur la seconde tour jumelle

 

Les récentes révélations publiées sur le site Press TV, sur le New York Post et Veterans Today ont changé l’histoire.

Il s’agit d’une histoire simple : deux membres du Congrès ont eu l’autorisation de lire le rapport d’enquête du Congrès sur le 11 Septembre, et cette fois-ci en incluant les parties que le président Bush avait fait enlever. Les deux membres du Congrès ont explicitement déclaré que les pages censurées du rapport font porter l’entière responsabilité de l’organisation et de l’exécution des évènements du 11 Septembre sur un ou plusieurs services de renseignements étrangers, pas sur des « terroristes ».

Le rôle individuel du président Bush, en dissimulant certains passages du rapport, a clairement été de protéger les réels coupables du 11 Septembre et de pousser les États-Unis non seulement dans deux guerres folles mais aussi dans des agissements draconiens contre le gouvernement des États-Unis lui-même.

 

La NSA et le coup d’État du 11 Septembre orchestré par Bush

Le 11 Septembre fut un coup mené contre la Constitution américaine. Des rapports supplémentaires sortis cette semaine [23-28 décembre 2013, NDLR] éclairent les raisons pour lesquelles Bush a menti au peuple américain, au Congrès, à nos militaires et nos alliés.

« Le directeur du renseignement national d’Obama, James Clapper, a déclassifié de nouveaux documents qui révèlent comment on a d’abord donné le feu vert à la NSA pour commencer à accumuler le gros des données des communication dans la chasse aux terroristes d’Al-Qaïda après le 11 Septembre [1]. L’administration du président Barack Obama a pour la première fois confirmé publiquement “l’existence d’activités de rétention des communications autorisées par le président George W. Bush” comme celles, nombreuses, des métadonnées Internet et téléphone, au sein du programme TSP [Terrorist Surveillance Program – Programme de surveillance antiterroriste, NdT [2]].

Ces révélations font partie de la campagne que Washington mène auprès des médias au sujet des programmes tenus secrets pour justifier les activités de surveillance de la NSA [National Security Agency – Agence nationale de la Sécurité, NdT], qui font suite aux divulgations faites en masse par Edward Snowden, ancien consultant de la NSA. Clapper a expliqué samedi que le président George W. Bush a d’abord autorisé l’espionnage en octobre 2001, quelques semaines à peine après les attaques du 11 Septembre [3]. »

Nous pouvons prouver que Bush est coupable, entièrement, criminellement, parce qu’il a dissimulé les pistes menant aux responsables directs des attentats du 11 Septembre.

 

L’AIPAC derrière Bandar, Bush « jeté aux fauves »

Encore plus effrayant : les articles publiés cette semaine dans le New York Daily News de Rupert Murdoch, écrit par Paul Sperry, un membre de l’Institut Hoover (think tank, Ndt) et de l’AIPAC [American Israel Public Affairs Committee – Comité américain pour les affaires publiques israéliennes, NdT], accusent non seulement le prince Bandar d’Arabie Saoudite d’être le cerveau derrière le 11 Septembre, mais y associent également Bush [4].

En fait, tout le dispositif de l’AIPAC, la plus grande organisation de lobbying de de Washington, a permis de sortir « l’artillerie lourde » pour empêcher le Congrès de faire paraître le vrai rapport [5]. Serait-ce parce que le vrai rapport accuse Israël, et pas l’Arabie Saoudite, et que l’AIPAC veut que l’histoire Murdoch/Sperry reste d’actualité ?

 

Le mythe Ben Laden s’effondre

Le vrai rapport, qualifié de « choquant » par les législateurs, qui ont demandé au président Obama de le déclassifier dans son intégralité, prouve qu’il n’y a pas eu de participation d’Al-Qaïda, qu’il n’y a eu aucune raison d’envahir l’Afghanistan ou l’Irak, ni de poursuivre l’agent de la CIA, le colonel Tim Osman, également connu sous le nom d’« Oussama Ben Laden ».

En fait, l’ambassadeur Lee Wanta [6], ancien chef des services secrets de la Maison Blanche et inspecteur général du département de la Défense sous Reagan, a mentionné des réunions auxquelles il a assisté entre des hauts responsables, des personnages clefs du gouvernement, et « Ben Laden ». Réunions tenues à Los Angeles comme à Washington DC, alors que les États-Unis étaient censés le rechercher.

Pour Wanta, qui était présent lors de ces réunions :

« Dès le début des années 90, Ben Laden, qui souffrait d’une maladie des reins à un stade avancé, a été envoyé par avion dans un établissement américain du golfe persique. De là, Ben Laden s’envola pour Los Angeles, atterrit à l’aéroport de l’Ontario, fut reçu par Albert Hakim, le représentant de Bush, Ollie North (libéré sous caution en appel), l’amiral William Dickie, l’avocat Glen Peglau et le général Jack Singlaub, un des créateurs de la CIA. Hakim était le représentant personnel de Bush et responsable de l’ensemble du projet. “Bud” McFarlane, une personnalité liée au scandale de l’Irangate, gracié par le président Bush en 1992, faisait aussi partie du groupe.

Ben Laden a ensuite quitté Los Angeles pour Washington DC. Là, il séjournait à l’hôtel Mayflower. Les réunions se déroulaient au Metropolitan Club de Washington. L’avocat Glenn Peglau logeait au Metropolitan. Alors qu’il y était, la chambre de Peglau a été cambriolée et des objets ont été subtilisés. À aucun moment n’a été enregistré, classifié ou pas, la dissolution de ce “groupe de travail” ni la fin du statut d’Oussama Ben Laden en tant qu’agent du gouvernement américain. En 2001, la dernière déclaration officielle d’Oussama Ben Laden niait une quelconque participation dans les attentats du 11 Septembre. Aucun document classifié ne fait le lien entre Ben Laden et le 11 Septembre ou ne le cite comme “espion détaché de la CIA” [7] ».

Quel est le vrai 11 Septembre ?

En 2007, le FBI envoya une équipe à Bangkok pour un entretien avec Dimitri Khalezov, un ancien Soviétique spécialiste des renseignements nucléaires. Khalezov informa le FBI que le matin du 12 septembre 2001, il avait assisté au petit déjeuner à un rassemblement avec Mike Harari, chef des opérations du Mossad, et son fils, ainsi que d’autres agents israéliens [8].

Khalezov rapporta au FBI que ce rassemblement avait eu lieu pour célébrer les attentats du 11 septembre, non pas comme Netanyahu l’avait dit, comme un « heureux hasard pour Israël » mais comme un attentat du Mossad contre les États-Unis. Lors de cette réunion, Harari revendiqua son rôle lors de l’attentat à la bombe d’Oklahoma City. Selon Khalezov, Harari cherchait à gagner ses faveurs afin qu’il rejoigne leur groupe pour une opération à venir, un attentat à Bali, programmé pour 2002.

Le 12 octobre 2002, un énorme dispositif d’explosifs dévastait presque un kilomètre carré et demi de l’île et faisait 202 morts. On accusa un groupe islamiste, non seulement comme pour le 11 Septembre, mais également comme auparavant à Oklahoma City.

Khalezov raconta aux agents du FBI qu’Harari prétendait que des armes nucléaires avaient été utilisées pour faire tomber les tours jumelles le 11 septembre. Harari ajouta qu’il avait en sa possession un missile de type « missile de croisière », un « Granit » soviétique pour l’attentat sur le Pentagone, acheté grâce à Victor Bout [9], le « Lord of War » joué par Nicholas Cage dans le film du même nom.

Bout, qui habite à Bangkok avec Harari et Khalezov, fut extradé aux États-Unis sur inculpation classée top secret, accusé d’avoir fourni le missile téléguidé utilisé sur le Pentagone le 11 septembre. Bout fut arrêté à Bangkok en 2008, peu de temps après la visite du FBI. Il fut officiellement reconnu coupable de fournir des armes aux rebelles en Colombie, activité à laquelle il participait depuis longtemps pour la CIA, partenaire de son trafic d’armes depuis de nombreuses années.

 

Fuites

Jusqu’ici, le rapport initial adressé au Congrès à propos des falsifications de Bush ne répond pas aux critères correspondant à une fuite. Seul Bush est accusé, les coupables du 11 Septembre sont encore en sûreté, leurs identités toujours protégées par les protocoles de sécurité maintenus par le président Obama, malgré les demandes du Congrès.

Les prétendues fuites rapportées par Sperry au Washington Post accusent Bandar et les services secrets d’Arabie Saoudite pour le 11 Septembre. Sperry cite la CIA comme source mais cela est fortement suspect ; il semble essayer de détourner ainsi les retombées possibles contre Israël quand (ou si) le vrai rapport est rendu public. L’histoire de Sperry, coordonnée avec les efforts de l’AIPAC pour étouffer la demande du Congrès en vue de déclassifier le rapport, pourrait bien indiquer que les renseignements israéliens, comme le note Khalezov, ont travaillé avec Bush pour organiser et exécuter le 11 Septembre.

Selon l’article de Press TV [10] :

« Cette semaine, les représentants du Congrès Stephen Lynch (démocrate du Massachusetts) et Walter Jones (républicain de la Caroline du Nord) ont demandé officiellement une résolution du Congrès pour que le président Obama rende public le Rapport d’enquête du Congrès déjà bien censuré sur le 11 Septembre. On venait juste d’autoriser les deux représentants à lire sous la clause de secret défense les 28 pages censurées du rapport qui en compte 800, qui n’avait pas été vu. Ce qui devient clair, c’est que le président Bush savait parfaitement que ni l’Afghanistan ni l’Irak n’étaient impliqués dans les évènements du 11 Septembre et que l’action militaire contre ces deux nations fut entreprise pour cacher l’engagement de son administration, engagement soutenu par les services secrets étrangers. Les représentants, alors qu’ils examinaient le rapport, arrivèrent à une partie intitulée “Sources spécifiques du soutien étranger”.

Une section de 28 pages y a été “charcutée” par la Maison Blanche sous les ordres personnels du président Bush. On estime que 5 à 10 000 mots ont été supprimés de cette section avec des lignes de petits points qui remplacent le texte, de page en page, sur le rapport original du Congrès. »

Il s’agit seulement de la plus récente des révélations que l’AIPAC ait réussi à faire supprimer en faisant pression sur le Congrès et ses puissants soutiens dans la presse. Ce qui est de plus en plus clair, c’est que les alliés de l’AIPAC à Washington ont eu accès au rapport non-censuré. Une administration entière, des hommes influents au Congrès comme au Pentagone, à la CIA, à la NSA et dans une douzaine d’autres organisations, connaissaient tous la teneur de ce qu’il y avait dans ce rapport. Ils ont tous menti à la Commission du 11 Septembre. Ils ont tous donné l’ordre de prendre des mesures pour supprimer les libertés personnelles dans le pays et d’aller massacrer des centaines de milliers de personnes dans le monde, d’en kidnapper et d’en torturer d’autres encore, et tout cela sur la base des mensonges.

Des pays furent virtuellement effacés de la carte, arbitrairement. On entend souvent la question : « Comment des milliers de gens ont-ils pu être impliqués dans une conspiration aussi abominable ? » Nous sommes maintenant prêts à répondre. Le temps est venu de poser la question.

Gordon Duff, 28 décembre 2013

 

Voir aussi, sur E&R : « La traque de Ben Laden pour les nuls »

L'un des événements les plus importants dans la recherche de la vérité sur le 11 septembre a été la récente publication d'une étude scientifique, rédigé par neuf scientifiques, sur la découverte de « matériel thermique actif » que l'on retrouve dans la poussière provenant de l'effondrement des tours du World Trade Center. Cette importante découverte devrait faire la une des medias si nous vivions dans une société réellement démocratique avec une presse libre. Hélas. 

L’étude écrite par le Dr. Steven E. Jones, de la Brigham Young University, et par huit autres personnes, fait suite à des recherches antérieures réalisées par le Dr Jones sur les preuves de l’utilisation de la thermite (mélange alumino-thermique) dans l'effondrement des trois tours du World Trade Center. Cette étude est d'une grande importance car elle révèle la preuve matérielle que la thermite active, sous une forme hautement explosive de « super-thermite », a été trouvé en grandes quantités dans la poussière issue de l'effondrement des tours. Cette preuve physique positive de super-thermite est une énorme percée; une première dans la recherche scientifique pour la vérité sur ce qui s'est passé lorsque les tours jumelles ont explosé dans la matinée du 11 septembre. 

Comme je l'ai écrit après avoir lu l’étude, le jeu est terminé. Si le président Obama était véritablement un homme du peuple, comme il prétend l’être, il parlerait de cette découverte, car cette preuve réfute totalement la version « officielle » des événements qui se sont déroulés le 11 septembre, [et] le paquet de mensonges sur lesquels la « guerre contre le terrorisme » est fondée. Si on avait une véritable liberté de presse aux États-Unis, cette découverte ferait la une des medias et elle serait l’objet de discussions sur tous les réseaux d’information partout dans le pays. 

Hélas, la découverte de la super-thermite dans la poussière du WTC ne fait pas la une des journaux parce que les politiciens ainsi que la presse aux États-Unis [ndt : et partout en Occident] sont étroitement contrôlés. Mais la vérité ne peut être aussi facilement contrôlée. Les états-uniens vivent aujourd'hui dans un pays aux embarrassantes contradictions, où les preuves scientifiquement démontrées, nous dévoilent que nos dirigeants sont complices, d’une énorme opération de camouflage criminelle sur ce qui s'est réellement passé le 11 septembre. Telle est la situation que je vis depuis maintenant plus de 7 ans. 

Ce qui se produit[ra] à partir de ce point dépend[ra] en grande partie de ce que f[er]ont les gens travaillant dans les medias, ils possèdent désormais les preuves concernant ce qui a vraiment détruit les tours le 11 septembre: Les tours ne se sont pas effondrées à la suite d’incendies provoqués par la combustion de carburant de deux avions de ligne; elles ont été démolies avec des explosifs préinstallés, dont de grandes quantités d'un explosif très puissant sous la forme de super-thermite, qui a été appliqué sur des surfaces de l'immeuble dans les mois précédant le 11 septembre. Oussama Ben Laden et sa bande de vingt [collaborateurs] n'ont certainement pas aspergé de la super-thermite partout dans les tours du World Trade Center dans les semaines et les mois ayant précédés le 11 septembre – alors, qui l'a fait? 

Pour les chercheurs de la vérité sur le 11 septembre, il s'agit d'un moment historique. Nous avons franchi un cap. D’autre part, pour ceux qui sont impliqués dans une opération de camouflage de la vérité, les choses ne feront que s'aggraver. Les preuves de [la présence de] super-thermite dans la poussière du World Trade Center, sont comme un texte écrit sur le mur. Pour les criminels du 11 septembre et leurs partisans le texte est très clair. Il signifie: Fin du jeu. 

http://www.bollyn.com/public/MoltenStreamCloseup.jpg 

Les tonnes de métal fondu aperçu en s’écoulant de la tour Sud quelques secondes avant qu’elle ne s’effondre indiquaient l'utilisation de thermite tout comme les petites sphères de fer trouvées dans la poussière et le fer fondu dans les sous-sols des trois tours effondrées. Cependant, la découverte de super-thermite active dans la poussière des tours effondrées, constitue une preuve irréfutable qu’une forme extrêmement explosive de thermite sous la forme de nano particules a été utilisée pour démolir et pulvériser les tours – et les centaines de personnes qui sont demeurées prisonnières à l’intérieur. Alors, qui a placé ça dans les tours ? Oussama Ben Laden? 

Traduction libre de ASSDBQ (Babytch) : 

Source (anglais) : 

http://www.bollyn.com/index.php?id=10095#article_11097 

Bollyn, Christopher, "Super-Thermite Demolished Twin Towers on 9-11: Game Over for Criminals and Cover Up," April 14, 2009 

Bollyn, C., "Super-Thermite Found in World Trade Center Dust," April 5, 2009 
Both at: http://www.bollyn.com/index.php?id=10095 

Harrit, Niels H. et al, "Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe," The Open Chemical Physics Journal, Volume 2, 2009, ISSN: 1874-4125, pp.7-31 (25) Authors: Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley, Bradley R. Larsen 
The complete 25-page paper can be downloaded in pdf format:http://www.bollyn.com/public/Active_Thermite_at_WTC.pdf 
or from the publisher: http://www.bentham-open.org 


Niels Harrit, a Danish scientist and co-author of paper, on the evidence of super-thermite in the WTC dust, TV2 News, Denmark, April 6, 2009 

http://www.youtube.com/watch?v=8_tf25lx_3o]url: 
http://www.youtube.com/watch?v=8_tf25lx_3o 

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