WWIII : Très Bonnes Fêtes de Noël, pendant ce Temps Israël reçoit des armes Nucléaires de TRUMP, agent Russe et sous influence Israélienne ?

WWIII : Très Bonnes Fêtes de Noël, pendant ce Temps Israël reçoit des armes Nucléaires de TRUMP, agent Russe et sous influence Israélienne ? que ne faisons-nous pas pour agrémenter la soirée de Noël ou l'enfant Dieu est né, pour nous réconcilier:
USA. La panne gigantesque d'Atlanta Airport du 17 décembre 2017, a été provoquée pour dissimuler la livraison d'armes nucléaires à Israël. (voir plus bas)
Shabbat Shalom ,à Jérusalem les Juifs Messianiques accueillent le Messie Jésus-Christ, homme-Dieu et reconnaissent que les Pharisiens et le Sanhédrin de l'époque l'ont livré aux Romains pour le tuer, et lui demande pardon au nom du Peuple Juif, et des Peuples de la terre qui étaient sous occupation Romaine. Ils lui donnent les clés de la Ville et reconnaissent l'Etat Major du Messie Christ-Roi sur la gouvernance du Monde. (voir plus bas texte en anglais)

Par le Saker – Le 13 décembre 2017 – Source The Saker
D’accord, je l’admets : Trump est un agent russe. J’ai vraiment, vraiment essayé de toutes mes forces de le nier, mais maintenant, je ne peux plus continuer parce que je suis confronté à une vérité absolument irréfutable. Seul un agent russe infiltré aux plus hauts niveaux du pouvoir aux États-Unis, à la Maison Blanche, pourrait avoir fait ce que Trump a fait il y a quelques jours : reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël. Cela, vraiment, était la chose la plus stupide et la plus suicidaire qu’un président américain puisse faire, et Trump l’a fait. Donc c’est un agent russe !
Je félicite le SVR pour avoir formé Trump et le GRU pour avoir piraté les élections américaines ! C’est une opération absolument brillante et un immense succès !
Vous pensez que j’exagère ?
Alors lisez le texte intégral du communiqué final de la Conférence du sommet islamique extraordinaire et notez les passages suivants :
« Rejette et condamne dans les termes les plus vifs la décision unilatérale du président des États-Unis de reconnaître Al-Quds comme la prétendue capitale d’Israël, la puissance occupante ; rejette celle-ci comme nulle et non avenue juridiquement et la considère comme une attaque aux droits historiques, légaux, naturels et nationaux du peuple palestinien, un travail de sape délibéré de tous les efforts de paix, une incitation à l’extrémisme et au terrorisme, et une menace à la paix et à la sécurité internationale (…) Réaffirme la place centrale de la cause de la Palestine et d’Al-Quds Al-Sharif pour la Oumma musulmane (…) Considère que cette dangereuse déclaration, qui vise à changer le statut légal de la ville d’Al-Quds Al-Sharif, est nulle et non avenue et manque de toute légitimité, car elle constitue une violation grave du droit international, et de la Quatrième Convention de Genève en particulier, et de toutes les résolutions importantes de la légitimité internationale, en particulier les résolutions No. 478 (1980) et 2334 (2016) du Conseil de sécurité des Nations unies (…) Tient l’administration étasunienne pour pleinement responsable de toutes les conséquences si elle ne retire pas cette décision illégale ; et la considère comme l’annonce du retrait de l’administration étasunienne de son rôle de parrain de la paix et de sa réalisation parmi toutes les parties prenantes, et comme un encouragement à Israël, la puissance occupante, à poursuivre sa politique de colonialisme, de peuplement, d’apartheid et de nettoyage ethnique qu’il a pratiquée dans les territoires palestiniens occupés en 1967, et au sein de la ville d’Al-Quds Al-Sharif; (…) Déclare que Jérusalem-Est est la capitale de l’État de Palestine et incite tous les pays à reconnaître l’État de Palestine et Jérusalem-Est comme sa capitale occupée. »
Résumons : ce document, signé par les représentants de 57 États membres, avec une population totale de plus de 1.6 milliards, condamne catégoriquement les États-Unis, déclare que Jérusalem est essentiel pour le monde musulman, accuse les États-Unis de violer le droit international, tient les États-Unis pour totalement responsables de toutes les conséquences de cet acte et déclare que les États-Unis ne sont plus considérés comme un parrain du processus de paix.
Bravo Donald ! La défaite militaire des États-Unis en Irak et en Afghanistan et leur défaite politique en Syrie avaient juste besoin d’un petit quelque chose pour les rendre insignifiants au Moyen-Orient et grâce à vous, Donald, maintenant c’est fait !
Certains pourraient dire que les États-Unis étaient de toute façon haïs et méprisés, donc pourquoi ne pas rendre les Israéliens heureux ? La réponse est simple : alors que le Donald et les néocons ne se soucient pas des conséquences de leurs actes, les rares alliés des Américains restants dans la région (la Jordanie, l’Arabie saoudite) sont placés dans une situation terrible : ils ont maintenant l’air d’être des alliés de Satan lui-même ! BIEN SÛR, tout le monde dans la région sait que les États-Unis sont une colonie d’Israël et que le lobby israélien tire toutes les ficelles, ce n’est pas nouveau. Mais au moins il y avait la toute petite feuille de vigne du prétendu « processus de paix » dans lequel les États-Unis jouaient le rôle de « médiateur » entre les Palestiniens et les Israéliens. Maintenant, même cette minuscule feuille de vigne est tombée. Aujourd’hui, l’équation est extrêmement simple :
Bravo Donald! Vous avez fait ce que seul un agent russe très perspicace et brillant pouvait faire : vous avez fait des États-Unis un paria dans tout le Moyen-Orient, dans l’ensemble du monde musulman et, bien sûr, dans une bonne partie du reste du monde !
Cpasibo Donald !
The Saker
La Trêve de Noël est un terme utilisé pour décrire plusieurs brefs cessez-le-feu non officiels qui ont eu lieu pendant le temps de Noël et le Réveillon de Noël entre les troupes allemandes, britanniques et françaises dans les tranchées lors de la Première Guerre mondiale, en particulier celles entre les troupes britanniques et allemandes stationnées le long du front de l'Ouest en 1914, et dans une moindre mesure en 1915. En 1915, il y eut une trêve de Noël similaire entre les troupes allemandes et françaises. En 1915 et 1916, une trêve eut aussi lieu à Pâques sur le front de l'Est.
Les soldats du front occidental étaient épuisés et choqués par l'étendue des pertes humaines qu'ils avaient subies depuis le mois d'août. Au petit matin du 25 décembre, les Français et les Britanniques qui tenaient les tranchées autour de la ville belge d'Ypres entendirent des chants de Noël (Stille Nacht) venir des positions ennemies, puis découvrirent que des arbres de Noël étaient placés le long des tranchées allemandes. Lentement, des colonnes de soldats allemands sortirent de leurs tranchées et avancèrent jusqu'au milieu du no man's land, où ils appelèrent les Britanniques à venir les rejoindre. Les deux camps se rencontrèrent au milieu d'un paysage dévasté par les obus, échangèrent des cadeaux, discutèrent et jouèrent au football le lendemain matin. Un chanteur d'opéra, le ténor Walter Kirchhoff, à ce moment officier d'ordonnance, chanta pour les militaires un chant de Noël. Les soldats français ont applaudi jusqu'à ce qu'il revienne chanter[5].
Ce genre de trêve fut courant là où les troupes britanniques et allemandes se faisaient face, et la « fraternisation » (il s'agit plus d'une trêve de fait qu'une fraternisation volontaire[6]) se poursuivit encore par endroits (notamment on prévient l'autre camp de se protéger des bombardements d'artillerie ou on pratique des trêves pour pouvoir enterrer ses morts) pendant une semaine jusqu'à ce que les autorités militaires y mettent un frein.
Contrairement à la croyance populaire, il y eut également des trêves dans les batailles opposant des soldats français et allemands. Cependant, celles-ci sont bien moins connues, probablement en raison du grand nombre de documents censurés par les autorités militaires à cause de leur contenu (descriptions d'opérations militaires susceptibles d'arriver aux mains de l'ennemi, description péjorative en conflit avec la désinformation faite par les journaux français de l'époque[7] , etc.). Aujourd'hui, de nombreux témoignages de soldats français ayant fraternisé avec des soldats allemands sont disponibles dans des archives historiques[8],[9], mettant au jour ces trêves presque tabou à l'époque. Voici un exemple de témoignage du soldat Gervais MORILLON :
"Il se passe des faits à la guerre que vous ne croiriez pas. Avant-hier, et cela a duré deux jours dans les tranchées que le 90e occupe en ce moment, Français et Allemands se sont serré la main. Voilà comment cela est arrivé : le 12 au matin, les Boches arborent un drapeau blanc et gueulent : "Kamarades ! Kamarades ! rendez-vous !" Ils nous demandent de nous rendre. Nous de notre côté, on leur en dit autant ; personne n'accepte. Ils sortent alors de leurs tranchées, sans armes, rien du tout, officier en tête ; nous en faisons autant et cela a été une visite d'une tranchée à l'autre, échange de cigares, cigarettes, et à cent mètres d'autres se tiraient dessus. Si nous ne sommes pas propres, eux sont rudement sales, ils sont dégoûtants, et je crois qu'ils en ont marre eux aussi. Depuis, cela a changé ; on ne communique plus."
Une trêve s'est déroulée également à Frelinghien où une plaque commémorative est érigée lors d'une cérémonie le 11 novembre 2008.
Mes très chères Sœurs, mes très chers Frères, Chrétiens, Juifs, Francs-Maçons, Musulmans, Bouddhistes et Athées. ou Agnostiques. Noël est avant tout la fête de la Paix, des retrouvailles en familles, de la prière de ceux qui en profitent une fois dans l'année, un certain Yom Kippour international, qui a vu des ralliements d'Allemands et de Français, de Canadiens, sur le champ de bataille de la Somme en Noël 1914.
Malgré la destruction des photos prises lors de cet événement, certaines arrivèrent à Londres et firent la une de nombreux journaux, dont celle du Daily Mirror, portant le titre An historic group: British and German soldiers photographed together le . Aucun média allemand ou français ne relate cette trêve.
L'État-major fait donner l'artillerie pour disperser les groupes fraternisant les jours suivants et fait déplacer les Unités « contaminées » sur les zones de combat les plus dures. Sur le front de l'Est, les conséquences sont plus graves : la répression des fraternisations du côté russe entraîne des mutineries et concourt à la décomposition du front russe. Lors de l'insurrection de Petrograd en 1917, les soldats fraternisent avec les ouvriers, ce qui va dans le sens de la bolchevisation de l'armée.
Le président Trump, confiant dans la défense de son pays contre les missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), est pris dans une illusion dangereuse
Par Andrei Akulov – Le 29 octobre 2017 – Source Strategic Culture
Les États-Unis continuent de poursuivre l’expansion de leur Système de défense antimissile balistique (Balistic missile defence ou BMD). Cet effort a la faveur et le soutien des deux partis au Congrès ainsi que celle des experts. Bon nombre de ses alliés accordent une grande importance à la coopération avec les États-Unis en matière de défense antimissile balistique. Toutefois, d’amples raisons existent pour s’interroger sur l’efficacité des systèmes étasuniens de défense antimissile (BMDs), et en particulier sur leur capacité de protéger contre des missiles balistiques intercontinentaux (ICBM).
« Nous avons des missiles qui peuvent détruire un ICBM en vol, dans 97% des cas » déclarait le président Donald Trump dans son interview à Fox News le 11 octobre 2017, ajoutant « et si quelqu’un en lançait deux, il est certain qu’ils seraient abattus ». Il parlait de la menace provenant de la Corée du Nord et de la capacité de la contrer à mi-parcours par des systèmes basés au sol (GMD) en Alaska et en Californie – un projet de $40 milliards géré par l’Agence de défense antimissiles (MDA).
Les militaires étasuniens ont mené leur tout premier essai de défense antimissile, impliquant une attaque simulée par un ICBM, en mai. La cible a été tirée de l’atoll de Kwajalein situé dans les îles Marshall vers les eaux du sud de l’Alaska. La mission consistait à se préparer à contrer un ICBM lancé par la Corée du Nord. L’Agence de défense antimissile (MDA) a qualifié l’essai de « succès incroyable ».
Selon le vice-amiral Jim Syring, directeur de l’agence « ce système est d’une importance vitale pour la défense de notre patrie, et démontre que nous avons une dissuasion efficace et crédible contre une menace très réelle ». L’évaluation semble exagérée du fait que l’essai n’a pas été effectué dans un environnement réel.
Le prochain essai du système basé sur terre (GMD) est prévu pour la fin de 2018 et, pour la première fois, impliquera le lancement de deux missiles intercepteurs contre une cible ICBM. Cela ne corrobore guère l’affirmation du président selon laquelle deux intercepteurs sont suffisants pour abattre un missile nord-coréen, car aucun test de ce type n’a été effectué jusqu’à ce jour.
Les États-Unis déploient actuellement 36 intercepteurs – 32 à Fort Greely, en Alaska, et quatre depuis la base aérienne de Vandenberg, en Californie. D’ici la fin de 2017, il y aura 44 intercepteurs basés au sol (GBI) déployés. La majorité des intercepteurs utilisent la variante CE-I du véhicule de destruction qui n’a obtenu que deux succès lors des quatre essais effectués. Au moins dix intercepteurs doivent être équipés du véhicule CE-II Block I, qui a réussi deux essais d’interception sur trois.
Il est généralement admis qu’il faut au moins quatre ou cinq intercepteurs pour atteindre une cible. Cela signifie que le président Trump s’éloigne de la réalité en disant que la probabilité de faire mouche est de 97%. Avant le test ICBM, le système GMD avait réussi à atteindre sa cible dans seulement dix essais sur dix-huit depuis 1999. Le taux de réussite est d’environ 56% et non pas de 97%. Mais même les 56% sont, presque certainement, une surestimation, étant donné le caractère des essais, loin des conditions réelles.
Le taux de réussite par quatre à cinq intercepteurs par cible pourrait bien être de 97%. Mais la possibilité que chaque intercepteur visant simultanément ait une chance de succès n’est pas indépendante de la précédente à cause des facteurs corrélés tels que les erreurs de conception, conduisant à des défauts qui réduisent les taux de réussite. Néanmoins, le président Trump estime que chaque intercepteur a une probabilité de tir propre (SSPK) pour un intercepteur donné de 97% (plutôt que 56%).
Selon le Washington Post :
« Aucun intercepteur ICBM n’a démontré un taux de réussite de 97%, et il n’y a aucune garantie que l’utilisation de deux intercepteurs aurait un taux de réussite de 100%. De plus, la suggestion de l’armée selon laquelle elle pourrait atteindre un taux de réussite de 97% avec quatre intercepteurs semble fondée sur des hypothèses erronées et des calculs trop enthousiastes. Les probabilités de succès dans les conditions les plus idéales ne dépassent pas au mieux 50-50, comme cela a été démontré dans l’évaluation détaillée du gouvernement. »
Joe Cirincione, le président de Ploughshares Fund et auteur de « Nuclear Nightmares (Cauchemars nucléaires) : Sécuriser le monde avant qu’il ne soit trop tard », a enquêté sur des programmes antimissiles pendant près de dix ans en tant que professionnel auprès des comités des services armés et des opérations gouvernementales. Il croit que « si les gens examinaient de près un seul de ces tests d’intercepteurs, ils concluraient probablement, comme je l’ai fait, que ces tests ne correspondent guère aux conditions du monde réel ».
Si la Corée du Nord lançait un ou plusieurs ICBMs contre les États-Unis, la GMD avec ses intercepteurs au sol (GBI) est le seul système susceptible de tenter de les intercepter et de détruire les ogives à mi-course hors de l’atmosphère. D’autres systèmes de défense antimissile tels THAAD et Aegis ne sont pas en mesure de frapper les ICBM car ils sont conçus pour d’autres classes de cibles.
Avec un seul test contre un ICBM, le MDA n’est même pas près de démontrer que le système fonctionne dans un environnement réel. Les systèmes GMD n’ont pas encore été testés dans les conditions pour lesquelles ils sont censés fonctionner. Aucun test n’a été effectué la nuit ou face à des contre-mesures complexes, telles que des contre-mesures électroniques et des leurres. Les tests sont toujours truqués parce que l’équipe d’interception connaît le moment et la trajectoire du missile entrant. Mais même les tests « attendus » ont souvent échoué. Les essais effectués jusqu’à présent sont insuffisants pour démontrer qu’une capacité opérationnelle de BMD existe réellement.
Les États-Unis n’ont pas effectué d’essais publics pour voir si les radars antimissiles pouvaient distinguer un missile d’un objet quelconque. Même les ballons gonflables bon marché peuvent faire échouer tous les efforts d’interception. Sans résistance à l’air (ou traînée) dans l’espace, un leurre comme un ballon en forme d’ogive nucléaire pourrait voyager de la même façon qu’une véritable ogive, ce qui rendrait difficile pour un missile de distinguer le réel du leurre. Les ballons sont assez légers pour permettre à une attaque sophistiquée de lancer 20 ou 30 ballons leurres pour obscurcir le chemin de l’ogive, submergeant le système de défense avec de faux signaux.
En février et avril 2016, le Government Accountability Office (GAO) a estimé que le MDA n’avait pas « démontré par des essais en vol qu’il pouvait défendre la patrie étasunienne contre la menace de missiles », et qu’il s’appuyait sur « un calendrier hautement optimiste » pour mettre le système à niveau.
Les États-Unis ont abandonné le Traité sur les missiles anti-balistiques (ABM) en 2002, ce qui a grandement entravé le processus de contrôle des armements. Efficace ou non, la capacité BMD actuelle et potentielle des États-Unis est prise en considération pour influencer la planification militaire de la Russie. Elle incite Moscou à prendre des contre-mesures pour répondre aux plans de défense antimissile balistique et a un impact négatif sur les perspectives de futurs accords de contrôle des armements entre la Russie et les États-Unis. Avec les incertitudes soulevées au sujet de l’équilibre des armes strict convenu dans le nouveau START, une réaction en chaîne est déclenchée conduisant à la course aux armements.
Philip Giraldi, un expert très respecté, directeur exécutif du Conseil pour l’intérêt national, estime que le peuple américain est trompé par l’administration, qui essaie de lui faire croire qu’une guerre nucléaire est pensable. Selon lui, « si tel est le message envoyé par la Maison Blanche, cela encouragerait l’aventurisme imprudent de la part de l’État de sécurité nationale ». M. Giraldi a mis le doigt sur la plaie. L’effort sur le GMD crée l’illusion dangereuse qu’une victoire dans un conflit nucléaire est possible et qu’aucun argent ne devrait être épargné pour stimuler la mise en application des plans de MDA. En réalité, l’industrie américaine de la défense en est le seul bénéficiaire, alors que les contribuables jettent de l’argent par la fenêtre. Le résultat est la poursuite de l’érosion du contrôle des armements et la réduction de la sécurité.
Andreï Akulov
Donald Trump agit sous l'influence d'une dangereuse secte juive.
Je suis né en Israël en 1985. Mes parents sont des juifs européens (les ancêtres de mes parents avaient une histoire en Allemagne depuis le Moyen âge.)
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à droite : Le soutien de Trump, le milliardaire Sheldon Adelson |
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(Trump & Nazis & Chabad - mêmes mains croisées) |

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Sous la direction de leur chef, le rabbin Menachem Mendel (1902-1994), le mouvement établit un réseau de près de 4.000 institutions qui fournissent un soutien religieux, social et idéologique aux juifs dans plus de 1.000 villes couvrant 100 pays, y compris tous les États américains. |
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Les membres de Chabad (dont font partie les Kushner) ont l'oreille attentive de Trump. |
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La Cour Suprême de Jérusalem avec la pyramide des Illuminati et la marque de "l'œil qui voit tout" a été construite pour soutenir ce programme tel que Ben Gourion l'avait envisagé: |
Alexander Ivanov
A Jewish man prays at the Western (Wailing)
Wall in Jerusalem.
In placing Joseph in charge of Egypt’s food supply, God wanted to do more than preserve the lives of the Egyptians and the nearby world from starvation due to a present famine.
By installing Joseph in a position of power to save his own family, God preserved the promise He made to Abraham, which included Israel being a blessing to the nations:
Wall in Jerusalem.
with a special candle-lighting ceremony. Following that, most families
recite prayers over wine and challah (braided egg bread).
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L’aéroport international Hartsfield-Jackson d'Atlanta (ATL) a été complètement fermé pendant 11 heures ce dimanche 17 décembre laissant des dizaines de milliers de passagers à l'aéroport le plus fréquenté au monde. Pourtant, au cours de cette fermeture, la piste 9R-27L de 2743 mètres de catégorie III a été ouverte à l’atterrissage d'un Boeing 747-412F appartenant à Cal Cargo Airlines, filiale du MOSSAD israélien. Ensuite, un convoi de 3 gros véhicules fortement gardés ont monté à bord de cet avion, qui a été autorisé à décoller. C’était le SEUL avion à atterrir et à décoller pendant cet arrêt total de l’aéroport. Il transportait une livraison d'ogives nucléaires, cadeau de fin d'année de Trump à Netanyahou, après celui de Jérusalem. Jusqu'où ira-t-il ?
Or le Boeing 747-412F appartenant à Cal Cargo Airlines a déposé un itinéraire de vol international de Tel-Aviv à Mexico, puis de Mexico à Atlanta. Cal Cargo Airlines est une compagnie de transport aérien israélienne spécialisée dans le transport de marchandises non standard telles que les marchandises dangereuses. Le leadership de l'entreprise a également des liens clairs avec le gouvernement israélien. Cela inclut son vice-président, M. Muli Ravini, qui était auparavant assistant du directeur général du ministère des Finances en Israël.

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La fumée s'élève de l'aéroport international Hartsfield-Jackson Atlanta lors d'un exercice, le jeudi 7 décembre 2017. Les autorités affirment qu'un exercice d'entraînement de routine près de l'aéroport le plus achalandé du monde, à Atlanta, a produit un panache de fumée noire et lourd s'élevant au-dessus de la ville et visible sur des kilomètres. L'aéroport est le plus achalandé au monde dessert plus de 104 millions de passagers par an. |