WWIII : Les Globalistes veulent détruire les BRICS, Macron jugé pas très fiable politiquement par POUTINE. Le Moyen Orient va payer cher indique TRUMP qui a enlevé de la table le problème de Jérusalem.
WWIII : Les Globalistes veulent détruire les BRICS, Macron jugé pas très fiable politiquement par POUTINE. Le Moyen Orient va payer cher indique TRUMP qui a enlevé de la table le problème de Jérusalem, en déplaçant son Ambassade de Tel Aviv à Jérusalem, alors que l'ONU ne reconnaît pas Jérusalem comme Capitale d'Israël. Les Arabes ont par ailleurs reconnus entre temps Jérusalem comme leur Capitale et ne veulent plus que les USA participent à des négociations avec la Palestine, qui s'arme et qui est prête à descendre sur la Capitale des deux belligérants potentiels.
La Syrie continue à être soutenue avec ses dirigeants actuels par la Russie de Poutine, qui n'entend pas se faire voler son élection Présidentielle, quitte a tuer dans l'œuf les belligérants qui voudraient s'en mêler. L'armée d'occupation Américaine en Syrie du Nord se maintient illégalement avec des forces de 15000 à 20000 hommes, dans des secteurs où ils protègent les terroristes de DAESH et de AL NOSRA. Ils occupent et exploitent illégalement le pétrole pour leur guerre asymétrique, et depuis 6 jours se retrouvent avec la Turquie qui bombarde Idlib, et qui s'enlise dans la Région.
Abdelkader Azouz a rendu publics des documents qui prouvent l’implication des terroristes takfiristes et de leurs sponsors dans l’incident chimique qui s’est produit dans la banlieue d’Idlib.
« Les évolutions sur le terrain militaire sont telles que l’armée syrienne n’a nullement besoin de recourir à l’arme chimique. D’autant plus que notre respect envers l’accord sur le désarmement chimique de 2014 a été maintes fois vérifié », a souligné le responsable syrien.
Il a ajouté : « Le gouvernement a mis il y a quelques jours des documents probants à la disposition de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC). Ces documents prouvent l’implication turque dans le transport du gaz moutarde et d’autres substances toxiques à bord d’un convoi de 12 camions depuis la Turquie vers la Syrie. D’après ces preuves, le renseignement turc était parfaitement au courant de ce trafic. La substance toxique, une fois arrivée à Idlib, a été déposée dans des bonbonnes de gaz. Le gouvernement syrien avait déjà mis en garde l’OIAC et la communauté internationale contre ce trafic qu’il avait déjà jugé suspect, car cela relevait de la responsabilité de Damas d’informer le monde des risques qu’un tel trafic faisait encourir à la paix et à la sécurité internationales.»
Azouz a évoqué ensuite le rapport du janvier 2015 de l’OIAC, dans lequel l’organisation reconnaît très clairement l’usage du gaz chloré par les terroristes en avril et en août 2014.
« Ce rapport ne dévoilait pas l’identité des auteurs, mais les documents que nous venons de présenter à l’OIAC révèlent bien leur identité », a-t-il expliqué.
Azouz a relevé l’anomalie consistant à vouloir accuser Damas avant qu’une enquête n’ait été menée sur cette affaire.
« Les États-Unis, la France et le Royaume-Uni se posent à la fois comme juge et partie et ils condamnent Damas pour un acte qu’aucune preuve ne vient accréditer. Cela étant dit, cette manière d’agir ne nous étonne pas, puisque cela entre dans la ligne de conduite habituelle de l’Occident : faire de la surenchère médiatique pour parvenir aux objectifs non atteints sur le champ de bataille. »
Le ministre russe de la Défense a annoncé dans un communiqué que l’armée syrienne avait découvert des équipements radio de fabrication européenne (des brouilleurs et un poste émetteur) utilisés par les terroristes.
« Par la même occasion, des munitions d’armes légères et des documents appartenant à Daech ont également été retrouvés », est-il dit dans ce communiqué.
De même, les forces syriennes ont découvert des documents révélant l’existence d’un groupe terroriste qui recevait des formations de la part des États-Unis ce qui prouve que Washington avait l’intention de ralentir le processus de paix en Syrie en utilisant ce groupe pro-Daech.
« Ces faits montrent que les États-Unis sont en train de créer un groupe terroriste pro-Daech. Les terroristes ont l’intention de perpétrer des actes de sabotage dans les provinces de Damas, de Homs et de Deir ez-Zour pour déconcentrer l’armée syrienne en lutte contre le Front al-Nosra dans la province d’Alep », a ajouté ce communiqué.
Cinq terroristes ont été tués et deux véhicules anéantis, le 24 janvier, à proximité de la zone de désescalade d’al-Tanef par l’unité de patrouille de l’armée syrienne. Les patrouilleurs y ont croisé un convoi de trois véhicules des terroristes. Des affrontements ont éclaté suite auxquelles cinq terroristes ont trouvé la mort tandis que deux véhicules ont été détruits, a annoncé le ministère russe de la Défense.
Des sources d’informations ont fait part d’intenses affrontements entre Daesh et les autres groupes terroristes à Deraa dans le Sud de la Syrie.
An-Nashrah a fait part d’affrontements entre groupes terroristes dans le sud de la Syrie. Selon son rapport, les daechistes ont pris d’assaut depuis différents axes les positions des autres terroristes aux alentours de la citée d’Hata dans le rif ouest de Deraa.
Ces affrontements ont coûté la vie à plusieurs éléments de part et d’autres.
Il est à noter que, de temps à autre, Daech perpètre des attaques contre les groupes armées syriens dans cette région. Auparavant, Khaled Ben al-Walid, un groupe affilié à Daech, avait tenté de perpétrer des actes dans les citées d'al-jabiliya, al-Bakar, al-Abdali et Hawdh al-Yarmouk dans l’ouest de Deraa.
L'ambassadeur iranien aux Nations Unies affirme que le cœur du problème du Moyen-Orient est le régime sioniste dont la politique agressive et expansionniste a aggravé la situation.
S'exprimant lors d'une session du Conseil de sécurité sur la Palestine et le Moyen-Orient jeudi, Eshaq Al Habib a également fustigé les États-Unis pour avoir reconnu Quds comme la capitale du régime sioniste.
Le rôle destructeur de Washington dans les conflits internationaux, en particulier au Moyen-Orient, est indéniable, a déclaré Al Habib, ajoutant que les États-Unis n'ont jamais été un partenaire honnête pour la paix et la justice sur le dossier palestinien.
Se référant aux antécédents du régime sioniste, il a déclaré la politique des colonies est illégale et déclarée ainsi par les Nations Unies mais le régime israélien continue de nier les droits des Palestiniens et de renforcer son occupation.
La construction de colonies par le régime sioniste est non seulement une violation de la IVème Convention de Genève mais aussi un crime de guerre que le régime n'a jamais eu lieu par la paix, a déclaré l'ambassadeur iranien et le représentant permanent adjoint aux Nations Unies.
En outre, Al Habib a déclaré qu'Israël a toujours ignoré tous les systèmes internationaux des armes de destruction massives, s'opposant au TNP et à la Convention sur les armes biologiques et chimiques.
Il est regrettable que le CSNU n’ai pas réussi à résoudre des problèmes tels que l'occupation permanente de la Palestine ou le bombardement du Yémen ces trois dernières années qui ont provoqué la faim, la maladie et la destruction du Yémen, y compris la pire famine au monde ces dernières décennies a t-il déclaré.
Faisant référence aux tentatives du régime américain et sioniste de changer les principaux problèmes du Moyen-Orient, Al Habib a déclaré que les deux hommes étaient également en train de répandre l'Iranophobie dans la région et que cela s'est transformé en un complexe psychologique et neurologique.
Rappelant les efforts de l'Iran dans la lutte contre Daech, Al Habib a déclaré que l'Iranophobie était propagée par ces pays qui fournissaient à Daesh des armes à un moment où l'Iran combattait ce groupe terroriste en Irak et en Syrie.
L'ambassadeur iranien aux Nations unies pour le soutien de l'Iran au peuple palestinien et son droit de décider de son propre sort et d'établir un pays palestinien souverain avec Al Qods al-Sharif comme capitale.
Syrie – Les Turcs attaquent Afrin, les Américains se plantent, les Kurdes sont encore dans le mauvais camp
Nous nous sommes trompés en prédisant que les menaces turques d’attaquer la zone nord-ouest d’Afrin contrôlée par les Kurdes étaient des menaces creuses :
· Le vrai danger pour la Turquie n’est pas Afrin, mais le protectorat kurde beaucoup plus large que les États-Unis ont officiellement annoncé dans le nord-est de la Syrie.
Les menaces turques et le bruit de l’artillerie ont couvert les protestations de la Syrie et les conseils plus discrets de la Russie. Le gouvernement syrien veut montrer qu’il est le protecteur de tous les citoyens syriens, qu’ils soient d’origine arabe ou kurde. La Russie est fière de jouer le rôle de l’adulte qui apaise tous les camps. »

- La Russie veut affaiblir le YPG et rendre Afrin au ‘régime’.
- Nous négocions toujours avec la Russie. Elle nous a dit que si on rendait Afrin au régime, ce dernier nous protégerait. Nous avons refusé. Nous avons proposé de rendre la base aérienne de Menagh et d’autres points de contrôle, mais elle a refusé.
- Il se peut que nous nous retirions de la conférence de Sotchi.
- Nous allons former une nouvelle alliance avec l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l’Égypte.
- Le commandant des forces de Rojava, le général Mazlum et Ilham Ahmed ont rencontré Brett McGurk pour demander aux États-Unis de mettre fin aux attaques turques. C’est un test de la fiabilité des États-Unis en tant qu’allié. »
Après l’échec des négociations avec les Kurdes, la Syrie et la Russie − qui en était le médiateur − ont conclu un accord avec la Turquie. La Turquie avait accepté la création d’une zone de désescalade à Idleb, mais elle n’avait jamais procédé à la mise en place des postes d’observation promis dans la zone gouvernée par Al-Qaïda. La Turquie a soutenu al-Qaïda. Combattre directement le groupe terroriste est contraire aux intérêts turcs. De nombreux combattants d’al-Qaïda ont de la famille et des amis en Turquie et cela la rend vulnérable.

- Hurriyet : Nos avions ont touché #Afrin. Le cœur de la Turquie bat comme un seul homme ;
- Sabah : Nous les frappons dans leur tanière ;
- Haberturk : La poigne de fer pour le terrorisme, le rameau d’olivier pour les civils ;
- Sozcu : Nous avons dit que nous allions frapper malgré les États-Unis et la Russie. Nous avons frappé les traîtres.
L’opération de la Turquie contre Afrin est assez importante. Ses forces aériennes bombardent la région. Elle envoie maintenant ses chars les plus modernes. L’« Armée syrienne libre » d’al-Qaïda soutenue et contrôlée par la Turquie, sera au front sur le terrain et c’est elle qui va certainement perdre le plus de sang. Afrin est dans la montagne et ce sera un combat difficile. Deux chars turcs ont déjà été détruits. Les Kurdes sont bien préparés et bien armés. Les deux camps auront beaucoup de pertes.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, a appelé la communauté internationale à ne pas céder au «dictat» de ceux qui ont soif de la destitution de Bachar el-Assad, en commentant l’initiative française du «Partenariat international contre l’impunité d’utilisation d’armes chimiques».
La Russie a appelé les États parties à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques (CIAC) à ne pas céder au «dictat» de ceux qui ont l'intention de destituer les autorités légitimes syriennes, lit-on dans la déclaration du vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Riabkov portant sur le «Partenariat international contre l'impunité d'utilisation d'armes chimiques» lancé à Paris le 23 janvier.
«Nous appelons tous les pays-signataires de la CIAC à montrer leurs volonté et leur sagesse politiques. Il ne faut pas céder au dictat du groupe de ceux prêts à employer des méthodes odieuses de diabolisation du gouvernement syrien légitime afin de le destituer. Ce «partenariat» constitue un moyen de restreindre ses participants par des obligations politiques, de promouvoir des décisions antirusses au sein du Conseil de Sécurité de l'Onu et de l'OIAC», a déclaré Sergueï Riabkov.

Il a également rappelé que c'était le gouvernement de Bachar el-Assad qui avait initié en 2013 l'adhésion de la Syrie à l'OIAC, en renonçant à ses armes chimiques et en les éliminant dans les plus brefs délais.
«Les accusations infondées à l'adresse de la Syrie et de la Russie continuent à apparaître sur fond de récidive du terrorisme chimique sur lequel l'Occident ferme les yeux… et du manque de volonté de Washington d'accomplir ses obligations de détruire au moins ses armes chimiques», a ajouté M. Riabkov.
Auparavant, la Russie avait présenté au Conseil de Sécurité une résolution prévoyant la création d'un nouvel organe d'enquête sur l'utilisation d'armes chimiques qui se substituerait au Mécanisme conjoint d'enquête sur l'utilisation présumée d'armes chimiques en Syrie (JIM). En novembre dernier, la Russie a voté contre la prolongation du mandat de cette commission.
Le «Partenariat international contre l'impunité d'utilisation d'armes chimiques», dont la première rencontre réunissant une trentaine de pays a eu lieu à Paris le 23 janvier, est une initiative française de lutte contre l'usage d'armes chimiques, qui veut mettre en cause la Russie.
SYRAK. SYR AKUSE L’après-impérialisme
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