WWIII : RUSSIE : Le rédacteur en chef de la revue Défense nationale, Igor Korotchenko, se prépare à une Guerre atomique avec l'OTAN.

Publié le par José Pedro

Chargement des blindés "Marder" sur un train à Grafenwoehr, le 21 février 2017. ©AFP

« L’OTAN se prépare à une guerre atomique contre la Russie », a déclaré Igor Korotchenko.

« L’OTAN se prépare à une guerre atomique contre la Russie », a déclaré Igor Korotchenko.

Le rédacteur en chef de la revue Défense nationale, Igor Korotchenko, a qualifié, jeudi 22 juin, d’« insolentes », de « ridicules » et de « propagandistes », les déclarations de la secrétaire générale adjointe de l’OTAN, Rose Gottemoeller qui a exigé, mercredi 21 juin, à la Russie d’informer en avance l’OTAN de ses exercices militaires.

«L’OTAN se prépare à une vraie guerre atomique contre la Russie et les déclarations de Rose Gottemoeller s’inscrivent dans le cadre des politiques russophobes de l’OTAN. Les exercices militaires mener par la Russie est de nature défensive. Cela se voit clairement à travers les objectifs et les missions que nous suivons pendant nos manœuvres. Ceci dit, tout propos insinuant que la Russie menace un pays ou que ses manœuvres militaires visent à préparer une guerre contre un membre de l’OTAN est ridicule, insolent et propagandiste», a affirmé le journaliste russe.

Le rédacteur en chef de la revue Défense nationale, Igor Korotchenko. (Photo d'archives)

Igor Korotchenko a souligné que c’était les agissements de l’OTAN qui sont préoccupants.

«Les exercices militaires de l’OTAN sont vraiment préoccupants, car cette alliance s’exerce à l’occupation de Kaliningrad, la destruction des flottes russes en mer Baltique et l’attaque contre des cibles à l’intérieur de la Russie», a-t-il ajouté.

Les membres de l’OTAN se disent inquiet quant aux exercices militaires conjoints « West 2017 » qui seront organisés en septembre par la Biélorussie et la Russie.

En matière de Guerre Nucléaire, le temps compte, le Japon à 10 minutes pour protéger sa population civile de missiles en provenance de Russie ou de Corée du Nord. Les USA ont 15 minutes pour essayer d'intercepter des missiles dits "non interceptables" Russes sur le sol Américain. Les Russes ont 5 minutes compte tenu que l'OTAN entoure l'intégralité des frontières de la Russie.

La stratégie, est donc d'effectuer des man​​​​​oeuvres militaires de simulation ou d'entraînement et de faire en sorte qu'elle deviennent réelles.

Dans ce cas celui qui tire le premier a des chances d'avoir l'avantage sur celui qui reçoit le feu nucléaire.

Dans les simulations militaires de l'Otan ou de la Russie, une Guerre Nucléaire se gagne en quelques jours, avec occupation du Pays conquis. La Blitz Krieg des Allemands doit ravager le territoire ennemi, détruire ses moyens de communication, ses équipements électroniques et informatiques, en passant par les satellites. 

Tout se passe sous terre ou sous les mers, car en surface le niveau de radioactivité et les nuages de poussières radioactives ont totalement fait disparaître la vie.

Les belligérants se sont envoyés réciproquement les missiles de destruction des bases militaires, les missiles anti-satellites, les missiles de destruction des infrastructures et des grandes villes, ainsi que les missiles tactiques des armées sur les champs de bataille.

Guerre en Syrie: Mattis et Dunford hostiles à l’aventursime de la Maison Blanche

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Le magazine américain Foreign Policy révèle l’opposition des généraux du Pentagone face à l’idée de l’implication dans des combats entre l’armée américaine, l’armée syrienne et ses alliés, dans le sud de la Syrie. Idée qui est toutefois soutenue par la Maison Blanche.

Des cas de conflits directs, opposant l’armée syrienne aux forces américaines dans le sud de la Syrie, se sont multipliés durant cette dernière semaine. Ce qui a fait que le magazine américain Foreign Policy a publié, vendredi 16 juin, un article au sujet de l’apport de soutien des hommes d’influence de la Maison Blanche par rapport au déclenchement d’une guerre terrestre contre l’armée syrienne, dans le sud de la Syrie.

La semaine dernière, les avions de combat US ont abattu un Soukhoï-22 et un drone, appartenant à l’armée syrienne. Les Américains accusent l’aviation syrienne d’avoir pris pour cible leurs positions, alors que le drone abattu revenait de sa mission contre les positions de Daech, à Raqqa.

« Ezra Cohen-Watnick, directeur du service de renseignement auprès du Conseil de sécurité nationale, et Derek Harvey, chef du Conseil de sécurité nationale pour le Moyen-Orient, soutiennent fermement l’ouverture d’un front élargi pour combattre les forces syriennes et leurs alliés, dans le sud de la Syrie, alors que plusieurs généraux du Pentagone, dont le secrétaire à la Défense James Mattis y sont opposés. James Mattis et certains responsables du département d’État ne veulent en aucun cas un nouveau conflit dans le sud de la Syrie, en affirmant que cela pourrait déclencher une confrontation dangereuse avec l’Iran. Joseph Dunford, chef d’état-major des armées, et Brett McGurk, diplomate américain, partagent l’idée de James Mattis et sont pour une concentration des efforts sur la lutte contre Daech et la libération de Raqqa », indique Foreign Policy.

Ce n’est pas la première fois que James Mattis et Joseph Dunford s’opposent aux aventurismes militaires de la nouvelle équipe de la Maison Blanche.

La Maison Blanche avait déjà demandé au Pentagone de mobiliser les soldats américains pour une lutte directe contre les terroristes de Daech, au lieu de soutenir les forces kurdes et arabes de la Syrie. Initiative catégoriquement rejetée par James Mattis et Joseph Dunford

Source: PressTV

Selon l’agence de presse iranienne, Taj News, Moscou est en train de mener des négociations avec Bichkek et Astana sur l’expédition des troupes kazakhes et kirghizes vers des zones où un cessez-le-feu a été réinstauré en Syrie.

Le président de la Commission pour la défense auprès de la Douma russe, Vladimir Shamanaev a confirmé cette nouvelle pour dire :

«  La décision finale n’a pas été prise jusqu’à présent en ce sujet ». À l’heure actuelle, deux sujets restent à examiner:

Primo, l’envoi de multiples troupes russes en Syrie pour rétablir l’ordre public dans ce pays, et secundo, l’expédition des troupes kazakhes et kirghizes vers des localités où une trêve a été rétablie en Syrie ».

Les propos tenus par ce responsable russe interviennent alors que les représentants officiels du ministère des Affaires étrangères et du QG kirghize n’ont pas confirmé cette information et souligné que les négociations se poursuivaient en ce sens et il se peut qu’aucune décision ne soit prise avant l’organisation de la présidentielle dans ce pays.

L'intervention militaire directe des États-Unis dans le nord et le sud de la Syrie au profit des groupes armés qui cherchent à renverser l'État syrien et à provoquer la dislocation de la Syrie a poussé la Russie, allié de Damas, à renforcer son action militaire.

Ce vendredi six missiles balistiques ont été tirés depuis un submersible russe en Méditerranée contre les positions des terroristes de Daech à Palmyre.

 

Fri Jun 23, 2017 6:13PM
 
 
 
PressTv User

Alors que le risque d’une confrontation aérienne entre la Russie et les États-Unis dans le ciel syrien n’est plus à écarter, un incident s’est produit au-dessus de la mer Baltique. 

Un chasseur F-16 des forces de l’OTAN a tenté de se rapprocher de l’avion du ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou, dans le ciel au-dessus des eaux internationales de la Baltique, mais a été « chassé » par un Su-27 qui escortait l’appareil de Choïgou.

D’un autre côté, l’Alliance atlantique a déployé quatre bataillons multinationaux en Pologne et dans les pays baltes, qui disent craindre une hypothétique attaque russe. 

Pour Moscou, le renforcement des forces de l’OTAN dans cette région traduit une volonté d’encercler la Russie. Le gouvernement russe a-t-il raison ?

François Dop, analyste politique, nous répond.

L’escalade américaine en Syrie et la menace d’une guerre mondiale

Par Bill Van Auken 
23 juin 2017

Après qu’un avion de chasse syrien a été abattu dimanche par les États-Unis, et après l’avertissement russe du lendemain selon lequel la Russie considérera tous les avions de combat américains qui volent à l’ouest de l’Euphrate comme des cibles pour leurs missiles sol-air, la menace d’une confrontation entre les deux plus grandes puissances nucléaires du monde est maintenant plus grande qu’à tout moment depuis la crise des missiles cubains il y a près de 55 ans.

Cette menace, qui entraîne la sombre perspective de l’anéantissement de l’humanité, est le produit d’une escalade calculée de la part de l’impérialisme américain.

L’avion de chasse syrien abattu a marqué l’occasion pour la première fois en ce siècle qu’un avion de guerre américain a abattu l’avion d’un autre pays. La dernière occasion d’un tel combat aérien a eu lieu en 1999 lors de la guerre des États-Unis et de l’OTAN contre la Serbie, lorsqu’un avion de combat américain avait abattu un MiG serbe.

La gravité de l’événement a été soulignée mardi par l’annonce de l’Australie qu’elle retient au sol ses avions qui effectuaient auparavant des vols en Syrie. L’Australie était l’un des rares membres de la « coalition contre l’État islamique » dirigée par les États-Unis à avoir contribué de manière notable à la campagne aérienne américaine de plus en plus meurtrière contre l’Irak et la Syrie. Alors que le chef des d’état-major interarmées des États-Unis, le général Joseph Dunford, a réagi à la menace russe par une bravade, exaltant la capacité des pilotes américains à « bien s’en sortir », l’armée australienne croit sérieusement que l’un de ses avions pourrait être abattu.

L’escalade du conflit s’est poursuivie mardi avec un drone iranien abattu par un avion de guerre américain dans le sud-est de la Syrie.

Quelles seront les conséquences si une batterie de missiles sol-air russe tire sur un avion américain considéré comme une menace imminente pour les forces de Moscou au sol en Syrie, ou d’ailleurs si un avion de guerre américain « éclairé » par le radar d’un site de missile SAM russe prend une action préventive ?

Personne ne le sait. Les « experts » complaisants de la politique étrangère américaine insistent sur l’idée que la dernière chose que Washington ou Moscou veulent est une conflagration nucléaire, et que, par conséquent, cela n’arrivera pas. Cet argument fallacieux est ensuite utilisé pour justifier une agression américaine débridée.

La supposée rationalité des classes dirigeantes capitalistes s’est à maintes reprises révélée sans aucun effet dissuasif sur le déclenchement de guerres catastrophiques. Comme l’a rappelé l’ancien secrétaire à la Défense, Robert McNamara, dans le documentaire Fog of War (Brouillard de guerre), lors de la crise des missiles cubains, « les individus rationnels » – Kennedy, Khrouchtchev et Castro – « étaient à deux doigts d’une destruction totale de leurs sociétés ».

De plusieurs façons, la situation actuelle est encore plus explosive qu’en 1962. À cette époque, la demande du chef d’état-major fascisant de l’armée de l’air, le général Curtis LeMay, de pouvoir bombarder les sites de missiles russes à Cuba était rejetée par le président Kennedy. Aujourd’hui, la politique militaire des États-Unis en Syrie et, en l’occurrence, en Irak, en Afghanistan et à travers le monde, a été déléguée par Trump à une cabale de généraux en service ou récemment mis à la retraite, dirigée par le secrétaire à la Défense James Mad Dog Mattis, ainsi qu’aux commandants de secteur, dont les opinions, dans la plupart des cas, ne se distinguent pas de celles de LeMay.

Un aperçu de leur attitude à l’égard de la crise syrienne a été fourni par un forum récent du conseil des affaires étrangères mettant en vedette la conseillère de longue date du Pentagone sur les guerres en Afghanistan et en Irak, Kimberly Kagan.

Kagan, qui dirige maintenant l’Institut d’étude de la guerre, a d’abord invoqué le prétexte galvaudé de la « guerre contre le terrorisme » comme justification de l’intervention des États-Unis. La Syrie, a-t-elle affirmé, représentait une « menace vitale pour la sécurité nationale » parce qu’elle « exportait la terreur et les groupes terroristes en dehors de ses frontières ». Elle a reconnu que l’État islamique (ÉI) représentait une menace, mais a insisté par la suite sur le fait que Al-Qaïda posait un danger encore plus grave parce qu’on a permis à ce dernier d’établir « son propre refuge dans la province d’Idlib ».

L’hypocrisie est renversante. La Syrie n’est pas un pays « exportateur » de terreur, mais plutôt la victime des milices liées à Al-Qaïda qui ont été déchaînées sur le pays par la CIA et les alliés régionaux de Washington dans une guerre de changement de régime. En ce qui concerne le « refuge » d’Al-Qaïda, il a été défendu par les États-Unis, qui ont dénoncé à plusieurs reprises le gouvernement syrien et la Russie pour avoir bombardé ces soi-disant « rebelles » et ont insisté pour que seul l’État islamique puisse être ciblé.

Kagan a mis de côté ses arguments contradictoires sur le terrorisme pour se concentrer sur les préoccupations réelles au sein de l’appareil militaire et du renseignement américain. L’Iran et la Russie posent une « menace stratégique à long terme » aux États-Unis, a-t-elle soutenu, en raison de leur présence militaire en Syrie, qui défie la domination américaine du Moyen-Orient et de la Méditerranée.

Dans son esprit, l’armée américaine s’occuperait de cette menace en s’emparant pour elle-même d’« une base d’opérations dans ce qui est l’est de la Syrie, le long de l’Euphrate », de Raqqa au nord aux frontières irakienne et jordanienne vers le sud. L’un des objectifs de l’intervention américaine, a-t-elle déclaré, serait de « dynamiser les populations sunnites dans la zone du fleuve de l’Euphrate, qui a été un foyer de soutien à l’ÉI, mais avant cela, à Al-Qaïda ». En d’autres termes, Washington cherchera à relancer la guerre sectaire pour le changement de régime en s’appuyant sur les milices islamistes sunnites, mais cette fois-ci avec des « troupes américaines sur le terrain ».

Combien de soldats américains cette opération nécessitera-t-elle ? « Je ne sais pas », a déclaré Kagan. « Ce n’est pas 150 000 gars. Mais cela doit être suffisant pour une extension de sa présence sur la ligne de front. » La clé de cette aventure militaire, a-t-elle ajouté, serait de « se préparer à ce que les Russes et les Iraniens essaieront de faire pour réagir ».

En d’autres termes, ce qui est en train d’être préparé – dans le dos du peuple américain et sans aucun débat, et encore moins un élément de légalité – est une autre guerre à grande échelle au Moyen-Orient visant non seulement au changement du régime syrien, mais à la confrontation avec l’Iran et la Russie, une puissance nucléaire.

Ce conflit ne se limite pas non plus au Moyen-Orient. Des informations jeudi ont fait état d’un avion russe armé de missiles air-air interceptant un avion espion américain RC-135 au-dessus de la mer Baltique près de la base stratégique militaire russe de Kaliningrad, les deux avions se trouvant à deux mètres l’un de l’autre. Les deux camps s’accusaient mutuellement de manœuvre dangereuse.

Entre temps, l’OTAN a organisé une cérémonie dans l’ancienne république balte soviétique de Lettonie pour marquer le déploiement de 4500 soldats de ce qu’elle a qualifié de « force dissuasive » à la frontière de la Russie. Le Pentagone a récemment déployé des bombardiers furtifs B-2 et d’autres aéronefs ainsi que des unités de l’armée dans la région pour des « exercices ». La Russie aurait réagi par un renforcement militaire de sa frontière occidentale.

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré qu’il ne voyait aucune « menace imminente » d’un affrontement armé dans la région baltique, mais l’ambassadeur russe à l’OTAN, Alexander Grushko, a qualifié la « dynamique militaire » de « dangereuse ».

Les médias américains ont traité l’escalade de la confrontation au Moyen-Orient et les tensions accrues dans les pays baltes comme des questions sans grand intérêt. Lors de la première conférence de presse de la Maison Blanche depuis plus d’une semaine, l’attaché de presse, Sean Spicer, n’a fait aucune déclaration concernant les récentes actions militaires américaines en Syrie et les caniches de journalistes présents ne lui ont pas posé une seule question quant au danger croissant de la guerre.

Dans l’intervalle, le Parti démocrate, en étroite collaboration avec le Pentagone et la CIA, a mené une campagne implacable d’hystérie anti-russe visant à créer une nouvelle base sociale, se revendiquant libérale, pour la guerre, parmi les couches privilégiées de la classe moyenne. Les démocrates ont approuvé tout nouvel acte d’escalade militaire en Syrie, exigeant seulement que le gouvernement Trump présente un plan « global » pour la guerre et, dans certains cas, demande l’adoption par le Congrès d’une nouvelle autorisation d’utiliser la force militaire pour légitimer l’agression militaire.

Malgré les efforts du Parti démocrate et de ses organisations satellites de la pseudo-gauche, la même crise du capitalisme américain et mondial qui apporte la guerre, produit également son contraire, la montée de la lutte des classes et la maturation des conditions objectives de la révolution socialiste. La tâche la plus urgente est le développement d’un mouvement politique de masse de la classe ouvrière en opposition à la guerre et à sa source, le système capitaliste.

(Article paru en anglais le 21 juin 2017)

L’Otan en Pologne
L'Otan s’entraîne à «se défendre contre la Russie» à la frontière lituano-polonaise
© REUTERS/ Ints Kalnins
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L’Otan procède à des exercices à la frontière entre la Pologne et la Lituanie en vue de savoir contrer une éventuelle «menace russe» qui risquerait d’isoler les pays baltes du reste de l’Alliance.

 

Les troupes américaines et britanniques effectuent des manœuvres otaniennes d'envergure à la frontière entre la Pologne et la Lituanie pour mettre en œuvre un scénario selon lequel l'Otan résiste à la Russie qui tente de couper les pays baltes du reste de l'Alliance, relate Reuters.

 

1.500 militaires ont été impliqués dans les exercices, qui se sont déroulés sur le tronçon de la frontière, connu comme le Suwalki Gap (ouverture de Suwalki), long de 104 km. Si la Russie s'emparait de ce tronçon, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie se trouveraient isolées.

 

«L'ouverture est vulnérable en raison de sa géographie. Une attaque n'est pas inévitable, bien sûr, mais… si l'ouverture est bloquée, trois alliés du Nord seront potentiellement isolés du reste de l'alliance», a déclaré Ben Hodges, commandant de l'armée américaine en Europe.

 

Le Kremlin a toujours nié la présence de projets d'envahir les pays baltes et souligné à plusieurs reprises que les allégations au sujet d'une menace militaire russe pour ces pays étaient absurdes et sans fondement. La Russie affirme que l'augmentation de la présence militaire de l'Alliance en Europe de l'est menaçait la stabilité de celle-ci.

 
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« La Russie aide l'Iran à construire une arme nucléaire »

Il se trouve qu'en Australie, on en sait plus sur les relations russo-iraniennes que dans le reste du monde. Source : https://svpressa.ru/world/article/174837/

Il est évident que ces dernières années, la Russie est parvenue à un niveau géopolitique complètement différent. Si, avant les événements de Crimée en 2014 Moscou a joué un rôle peu visible sur la scène internationale, et même Obama a réussi à nous appeler une « puissance régionale », il est maintenant l' un des principaux acteurs sur la scène mondiale.

La présence de la Russie est particulièrement ressentie dans la grande région asiatique. En premier lieu vient à l'esprit est de renforcer la coopération avec la Chine. À l'heure actuelle la Fédération de Russie est le plus grand fournisseur de pétrole à la Chine, même si en 2015 la tête de cet indicateur tenu en Arabie Saoudite. Ensuite, l'une des plus importantes actions russes peuvent appeler une participation à part entière dans le conflit syrien. Cette campagne militaire peut être la louange, il est possible de juger, mais le fait de sa mise en œuvre montre sans précédent au cours des 25 dernières années de la participation de la Russie dans les affaires internationales.

De retour à nouveau vers les pays d'Asie-Pacifique, ne manquera pas de plaire au progrès dans le règlement des relations russo-japonaises. Les pays ont convenu des activités économiques conjointes sur les îles Kouriles, qui est très important, parce que notre région Extrême-Orient a longtemps exigé un investissement sérieux.

En outre, dans certains pays, la Russie est la construction d'une centrale nucléaire - un « Kudankulam » centrale nucléaire en Inde, « Akkuyu » en Turquie, « Ruppur » au Bangladesh, en élargissant la station chinoise « Tianwan ». Eh bien, comme sans projet iranien - la construction de plusieurs unités de puissance « Bushehr ». En général, l'Iran est l'un des partenaires les plus importants de la Russie dans la région du Moyen-Orient. Ce n'est pas Bashar Asad , ou tout autre dirigeants locaux, le Kremlin fait confiance à moins que les homologues persans. Aucune autre raison - l'Iran est un pays avec une économie forte, qui a une très puissante armée qui peut mener une politique indépendante. Donc, il est un partenaire égal, et ne pas agir comme une sorte de « petit frère », comme dans le cas de la Syrie.

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La Russie et de l'Iran dans la dernière décennie qui travailleexclusivement sur le renforcement des relations. Ceci est démontré non seulement la coopération politique, mais aussi un chiffre d'affaires de plus en plus. Et, à cet égard, il n'y a pratiquement pas de participation des hydrocarbures. La base de l'exportation russe sont des métaux et leurs dérivés. L'Iran a importé dans notre pays principalement divers produits alimentaires, matériaux de construction. Le plus grave de la présence persane ressentie dans l'entreprise des régions de la mer Caspienne de notre pays, qui est due à la commodité de transport. Mais la Russie met en œuvre en Iran, plus de projets à grande échelle - après tout, dans un proche avenir, « Bushehr » NPP sera lancé par la deuxième unité, puis la troisième, probablement, à long terme et le quatrième.

De nombreux pays, les politiciens tiers embarrassants ce partenariat. Par exemple, les pays occidentaux et leurs alliés voient dans l'interaction de la Fédération de Russie et la République islamique d'Iran une menace pour leurs intérêts géopolitiques au Moyen-Orient, et dans le monde islamique. Australie, en dépit de la situation géographique, partage les préoccupations de leurs partenaires occidentaux. Malgré les critiques, l'Australie est toujours le premier pays en Océanie, de sorte que, en quelque sorte son avis est important. Cependant, il est indéniable que Canberra coordonne souvent sa politique avec Washington et Londres. En cela, il exige l'adhésion à plusieurs organisations internationales. À cet égard, tout à fait intéressant de savoir ce que les gens pensent en Australie à propos de l'Iran et sa coopération avec la Fédération de Russie. Je nous a parlé de cet expert australien dans le domaine de la politique asiatique et Proche - Orient, Maître de conférences à l'Institut Loui Entoni Bubalo.

- L'Iran est déterminé à faire en sorte que, pour être le premier dans le Golfe, il est obtenu, mais il est juste une couverture. En fait, que la politique de l'Iran, qu'il démontre, est sans rapport avec les plans réels. L'Iran veut devenir un leader en Asie, et si la chance, et encore plus grande échelle.

« SP »: - C'est - à - dire l' Iran veut prendre la place des États-Unis?

- Je ne plaisante pas. Lorsque les États-Unis qu'ici? Iran - cet autre Etat et son leadership dans le monde signifie un ordre mondial très différent.

« SP »: - Mais est - ce mauvais que certains Etat vise à être la première puissance?Ou , dans certains pays , il est possible, et l'autre - non?

- Pas dans ce cas. Nous avons parlé des États-Unis. Quel est leur succès? Les critiques commencent à transférer des opérations militaires me souviens même d'Hiroshima. Mais ce n'est pas vrai. Pourquoi Royaume-Uni approuve la politique des États-Unis? Pourquoi l'Islande? Il n'est pas à l'OTAN, et l'impact économique. Les Etats-Unis depuis longtemps été la première économie du monde, et leur modèle proposé est très efficace pour se montrer sur d'autres continents. Et l'Iran dans sa forme moderne n'est pas un tel exemple. Non pas parce qu'il est la culture orientale, et il est à cause de sa politique. Les dirigeants iraniens dans le monde ne signifie pas que quelque chose de bon pour tous les autres pays. Sa suprématie serait comme une dictature.

« SP »: - les Etats-Unis, aussi, ce qui est souvent critiquée.

- Cette discussion spécialistes. Et la dictature iranienne pour vous sentir les citoyens de ce pays, et s'il obtient son chemin, il se sentira et d'autres personnes. Après 1979 (quand il y avait la révolution islamique - Ed . ) L' Iran a perdu tout son état potentiel, vivant dans le monde moderne. Comment avez-vous imaginer la domination de l'Etat théocratique? Et l'Iran - une théocratie. Ici , il y a quelques positions, mais Ahmadinejad (ancien président de l' Iran - Ed.) Ou Rouhani (actuel président - Ed . ) Ne peut rien faire sans l'approbation du chef religieux du pays, qui est en fait un monarque absolu.

« SP »: - Tout à fait une déclaration controversée.

- Peut-être, mais les pouvoirs de la monarchie, il vient. Si vous le souhaitez, il peut apporter au pays que vous voulez. Khamenei (chef suprême de l' Iran - Ed . ) Est toujours très activement impliqué dans la politique. C'est quand il a commencé le programme nucléaire. La construction de centrales nucléaires, mais il y avait encore beaucoup de confusion avec la manipulation des substances radioactives.

« SP »: - Il semble que l' Iran est pris seulement dans le fait qu'il a enrichi l' uranium.

- Oui, l'uranium qui était destiné à des centrales nucléaires, a été enrichi par l'AIEA. Autrement dit, nous pouvons observer comment le pays signataire de la non-prolifération des armes nucléaires, engagée dans le développement du secteur de l'énergie. Personne n'interdit l'Iran d'acheter du carburant, ou d'effectuer des travaux sous la supervision des inspecteurs. Mais les experts ont obtenu les documents reçus par les gens à quitter l'Iran. Ils avaient un accès au programme nucléaire, puis il est devenu connu que l'Iran enrichit l'uranium dans des installations secrètes. Il y a une question: pourquoi? Puis tout est devenu clair véritables plans du pays.

« SP »: - Et quels sont - ils?

- La création d'armes nucléaires. Ce faisant, l'Iran a accusé les nombreux diplomates et hommes politiques.

« SP »: - Il se trouve, l' Iran a besoin d' armes nucléaires pour dominer. La Corée du Nord possède des armes nucléaires, mais il ne semble pas qu'elle avait une chance de devenir un leader mondial.

- La Corée du Nord a mis au point des armes nucléaires de ne pas dominer, mais pour sauver le mode. Elle les chefs héréditaires et une petite économie, qui n'a rien à voir avec les principes communistes ont pas. Et l'Iran - un pays qui avait déjà des armes nucléaires impact sur certains de ses voisins. La Syrie, le Liban et l'Irak sont fortement influencés par l'Iran. Si elle aura une arme nucléaire, il sera beaucoup plus facile d'affaiblir l'influence de leurs concurrents. Je parle de l'Arabie Saoudite. Riyad est l'un des garants de la stabilité, car elle équilibre l'Iran. Mais l'équilibre des armes nucléaires sera brisé. C'est une grande menace non seulement pour la région mais aussi dans le monde.

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- Avec l'Iran arrêté tous les pays à coopérer. Il n'y a qu'un seul état. Mais si l'on considère que cet état par la Russie, l'Iran, les chances sont élevées. Les spécialistes russes construisent une centrale nucléaire en Iran, en travaillant sur d'autres objets. « Rosatom » a un soutien très fort pour l'Iran.

« SP »: - C'est, la Russie aide l' Iran à construire une arme nucléaire?

- Oui, la Russie aide l'Iran. Il n'y a rien d'étonnant. Si vous vous souvenez, il y avait des informations que les missiles coréens ont été construits à partir de pièces russes. Je ne suis pas sûr, mais il y a la spéculation qu'il est la Russie a informé la direction nord-coréenne de faire un lancement de fusée sans succès. Ainsi, la Russie a sauvé les autres de doute, en raison de son matériel militaire de haute qualité.

« SP »: - Et pourquoi la Russie à fournir à l' Iran avec des armes nucléaires?

- Face à l'Iran, il deviendra un fidèle allié en Asie, qui sera en mesure de « rétablir l'ordre » dans le monde musulman. Ses alliés dominent, mais pendant un certain temps, il étudiera chaque cas avec la Russie. Ceci est une tentative de retour en Russie l'influence qu'il avait pendant la guerre froide.

 

Journée mondiale de Jérusalem (Al Qods)

Ce vendredi 23 juin est marqué par un évènement qui reste parmi les plus importants chez les hommes justes, libres, et épris de vérité.

En effet, cette date, instaurée par l’Imam Khomeini après la victoire de la révolution islamique de 1979, célèbre la Journée mondiale de Jérusalem (Al Qods).

Elle symbolise le refus de l’oppression et de la soumission face à l’injustice.

Jérusalem (Al Qods) est la capitale de la Palestine : un pays occupé, colonisé et martyrisé. C’est autour de ce pays que se concentrent, depuis plus de soixante années, les pires crimes et injustices : déplacements forcés de populations, spoliations de terres, bombardements de civils, tortures et meurtres d’innocents dont des femmes et des enfants, ainsi que la négation de l’existence de tout un peuple sur sa propre terre.

Comme l’a si bien affirmé l’Imam Khomeini en son temps :

« Le jour d’Al Qods est un jour international qui n’est pas uniquement réservé à Al Qods, c’est le jour où les Opprimés affrontent les Arrogants, c’est le jour où les peuples qui ont souffert à cause de l’Amérique affrontent les grandes forces, c’est le jour qui sépare les Hypocrites des Engagés ».

Aujourd’hui, cet évènement dépasse le cadre de la Palestine occupée et englobe la quasi-totalité du monde musulman.

En effet, ce dernier est désormais confronté par bien des manières à la barbarie américano-wahhabo-sioniste, de la Palestine au Yémen, en passant par le Bahreïn, la Syrie, l’Irak, la Libye, l’Afghanistan, et bien d’autres pays encore.

C’est le sens des propos tenus le 21 juin dernier par Ali Khamenei, guide suprême de la République Islamique d’Iran, qui affirmait :

 » La Journée d’Al Qods est très importante. Cette question ne se limite pas à défendre une nation opprimée, chassée de son foyer. Il s’agit d’une lutte contre un système politique oppressif et arrogant.

Aujourd’hui, la lutte contre le régime sioniste est la lutte contre l’Arrogance mondiale et l’ordre hégémonique, c’est pourquoi les hommes politiques américains se sentent menacés par un tel mouvement ».

 

Le Parti Anti Sioniste réitère en cette journée son attachement à la cause palestinienne ainsi qu’au combat contre le sionisme, sous toutes ses formes.

Il exprime aussi sa plus profonde et totale solidarité envers le front de la Résistance qui refuse la soumission à l’impérialisme américano-sioniste.

Il s’associe également à toutes les commémorations célébrant la journée de Jérusalem (Al Qods) afin d’entretenir le « devoir de mémoire », pour ne jamais oublier cette injustice originelle et cultiver en nous cette volonté de la réparer.

 

Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste
© http://www.partiantisioniste.com/?p=18105
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