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WWIII : Apocalypse Annoncée. Tout est fait pour faire plier Poutine et la Religion Bénit les Guerres à venir. Le Massacre des Innocents.

Publié le par José Pedro

À en croire le Président Poutine, le bouclier antimissile américain s’avérerait inefficace en cas de guerre entre les États-Unis et la Russie.

Interviewé par le réalisateur Oliver Stone, le Président russe a expliqué pourquoi les États-Unis n'avaient aucun intérêt à attiser les conflits avec la Russie, relate mardi l'agence Bloomberg.

« De nos jours, le bouclier antimissile américain ne parviendrait pas à protéger les États-Unis », a indiqué Vladimir Poutine, en répondant à une question de M. Stone sur une guerre éventuelle entre les deux pays.

Personne ne survivrait: Poutine sur les conséquences d’une guerre avec« les USA » qui se profile actuellement.

Les relations entre Moscou et Washington sont au plus bas depuis l'époque de la guerre froide, a affirmé le Président russe Vladimir Poutine dans un discours tenu ce vendredi lors du Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF), soulignant toutefois l'importance d'un dialogue constructif entre les deux pays.

Dans le même temps, le dirigeant russe a assuré que de son côté, Moscou continuerait de dialoguer avec le chef d'État américain Donald Trump pour normaliser les relations bilatérales.

« Pour réussir, il faut des efforts sérieux des deux côtés. Nous aurons également besoin de volonté politique, de ténacité pour résoudre les questions représentant un intérêt pratique réciproque », a affirmé M. Poutine.

POUR LA RUSSIE, LA PROPOSITION DE LOI 1644 EST UN « ACTE DE GUERRE »

loi 1604Nous avons déjà dit que toute « sanction » unilatérale est en soi un acte de guerre. 

De hauts fonctionnaire russes s’inquiètent de ce qu’une proposition de loi qui vient d’être adoptée par le Congrès US fait beaucoup plus qu’augmenter les sanctions déjà existantes sur la Corée du Nord. Moscou estime en effet que la House Resolution 1644 viole sa souveraineté et constitue un acte de guerre.

Le 4 mai 2017, la H.R. 1644, sous l’innocente formulation « Korean Interdiction and Modernization of Sanctions Act », a été rapidement adoptée par 419 voix contre une, et a aussi rapidement été qualifiée « acte de guerre » par un haut fonctionnaire russe.

Pourquoi Konstantin Kosachev, président de la Commission des Affaires Étrangères du Sénat russe s’est-il tant alarmé d’une proposition de loi ostensiblement dirigée contre la Corée du Nord ? Après tout, il n’y a même pas eu, avant le vote, d’animé débat partisan. Au contraire, la résolution a été votée suivant une procédure dite « à règles suspendues », généralement appliquée aux législations ne soulevant pas de controverse, et elle l’a été à l’unanimité moins une seule voix (celle du Républicain Thomas Massie, du Kentucky).

Voyons ce qu’implique cette Résolution 1644. Si elle est appliquée, la loi modifiera le « North Korea Sanctions and Policy Enhancement Act » de 2016 en augmentant les pouvoirs qu’a le Président d’imposer des sanctions à quiconque violerait certaines résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies concernant la Corée du Nord. Plus spécifiquement, elle permettra d’étendre à d’autres les sanctions infligées à la Corée du Nord pour la punir de son programme d’armement nucléaire, en prenant pour cibles quiconque, outremer, exploite une main d’œuvre d’« esclaves » nord-coréens, en faisant appel à l’administration (US) pour déterminer si la Corée du Nord est un état qui sponsorise le terrorisme, et en autorisant des mesures de répression sur la Corée du Nord dans le cas où elle ferait usage de ports de transit internationaux.

 La H.R. 1644 prend pour cibles des ports et des aéroports étrangers.

Ce qui a fait sursauter les critiques russes, c’est la Section 104, la partie de la loi qui accorde aux « autorités d’inspection » US le droit d’inspection dans des ports d’embarquement (et la plupart des aéroports) situés bien au-delà de la péninsule coréenne – particulièrement en Chine, en Russie, en Syrie et en Iran. La proposition de loi identifie plus de 20 cibles étrangères comprenant deux ports de Chine(Dandong et Dalian, et « tout autre port de la République Populaire de Chine que le Président juge approprié »); dix ports en Iran (Abadan, Bandar Abbas, Chabahar, Bandar-e Emam Khomeyni, le port de Bouchehr, le port d’Assalouyeh, les îles de Kish et de  Kharg, Bandar Lengeh, Khorramshahr, et l’aéroport international  Imam-Khomeini de Téhéran); quatre endroits en Syrie (les ports de Lattaquié, de Baniyas, de Tartous et l’aéroport international de Damas) ; et enfin trois ports en Russie(Nakhodka, Vanino, and Vladivostok). Selon la proposition de loi le Secrétaire à la Sécurité intérieure US pourrait utiliser le système de ciblage automatique du Centre national de ciblage pour fouiller tout bateau, avion ou moyen de transport qui se trouverait « sur le territoire, dans les eaux ou l’espace aérien de la Corée du Nord ou qui accosterait ou atterrirait dans n’importe quel port ou aéroport de ce pays ». Tout vaisseau, avion ou véhicule qui aurait violé cette loi US serait passible de « saisie et confiscation ».

Le House Bill met les voyants d’alerte au rouge pour la Russie

« J’espère que cette proposition de loi ne sera jamais adoptée » a dit Kosachev àSputnik News, « parce que sa mise en œuvre envisage un scénario de pouvoir qui permet la fouille forcée de n’importe quel bateau par les navires de guerre US. Un scénario de ce genre est incompréhensible, parce qu’il équivaut à une déclaration de guerre»

On comprend que les autorités russes aient été outragées par cette démarche impérieuse du Congrès visant à étendre le droit de surveillance militaire que s’accordent les États-Unis jusqu’à des ports souverains de l’Extrême-Orient russe. La Chambre Haute de la Fédération de Russie a fait remarquer non sans colère que de telles actions constitueraient un viol flagrant des lois internationales et rien de moins qu’une déclaration de guerre.

« Aucun pays dans le monde et aucune organisation internationale n’a autorisé les États-Unis à superviser l’exécution d’aucune résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU » a fait remarquer Kosachev. Il accuse Washington d’essayer d’affirmer la suprématie de sa propre législation sur les lois internationales, en vertu de « l’exceptionnalisme » dont les USA se targuent et qui pose, selon lui « le principal problème aux relations internationales d’aujourd’hui ».

« Ce vote déséquilibré à 419/1 révèle assez clairement ce qui sert de culture juridique et politique au Congrès des États-Unis »

Le collègue de Kosachev à la Chambre Haute, Alexeï Puchkov, a insisté sur cette cause de préoccupation. « On ne sait absolument pas comment cette loi est supposée être mise en œuvre » a-t-il dit ; « Pour contrôler des ports russes, les USA devront d’abord installer un blocus et fouiller tous les navires, ce qui est en soi un acte de guerre ». Ce vote déséquilibré à 419 contre 1 révèle assez clairement ce qui sert de culture juridique et politique au Congrès des États-Unis.

La Russie n’en a rien à cirer de l’exceptionnalisme US

Dans l’immédiat, la Russie craint surtout que le Sénat US ne suive la même pente que le Congrès. Selon Sputnik News, le « surveillance-and-interdiction amendment » doit encore être approuvé par le Sénat et signé par le président Donald Trump.

Andreï Krasov, premier chef-adjoint de la Commission de Défense de la Chambre Basse de Russie a réagi à l’initiative US avec un mélange d’incrédulité et d’indignation :

« Pourquoi diantre l’Amérique s’est-elle voté de telles responsabilités ? Qui lui a accordé le  pouvoir de contrôler les ports maritimes de notre pays ? Ni la Russie ni les organisations internationales n’ont jamais demandé [ni permis, ndt] à Washington de le faire. On ne peut que répondre à ceci que toute initiative hostile de l’administration US à l’égard de la Russie ou de ses alliés recevra sur-le-champ une réponse symétrique.Dans aucun cas un navire US ne pénétrera dans nos eaux. Nos forces armées et notre flotte disposent des moyens nécessaires pour sévèrement punir qui s’y risquerait. »

Krasov a suggéré que ces « manœuvres d’intimidation belliqueuses » de Washington démontrent bien que les États-Unis n’ont jamais eu l’intention de respecter les autres membres de la communauté mondiale – et surtout pas des rivaux comme la Chine et la Russie. « Ce sont des poids lourds qui, par principe, ne collent pas dans le tableau que se font les États-Unis du monde entier régi et dominé par eux ».

Vladimir Baranov, opérateur d’une ligne de ferry russe dont les navires font la navette  entre Vladivostok et la ville portuaire de Rajin, en Corée, a déclaré à Sputnik News que « les États-Unis ne peuvent pas physiquement contrôler les ports russes – pour entrer, vous devez vous rendre auprès des autorités portuaires, demander et remplir des papiers, ce genre de choses… Tout ça n’est qu’un bluff des États-Unis, pour essayer de faire croire qu’ils contrôlent le monde ».

Alexander Latkin, professeur d’économie à l’Université d’État de Vladivostok, n’est pas moins sceptique : « Comment les États-Unis pourraient-ils contrôler les opérations dans nos ports ? Ce serait possible si les États-Unis possédaient une part des capitaux de ces ports, mais, pour autant que je sache, tous les actionnaires sont russes. C’est essentiellement une gesticulation politique des USA. Les Américains n’ont aucun fondement juridique ni économique pour contrôler nos ports. »

Maxim Grigoryev, qui dirige la Fondation Russe pour l’Étude de la Démocratie, a déclaré à Sputnik Radio qu’il avait trouvé le projet de loi « plutôt rigolo », étant donné surtout qu’il ne fournit aucun détail sur ce qu’une inspection US pourrait impliquer et ne fournit non plus aucun mode d’emploi du Pentagone pour mener à bien des inspections de navires battant pavillon international et d’installations portuaires étrangères.

« Ce qui s’est passé, c’est que le pouvoir législatif des États-Unis a habilité son homologue exécutif à présenter un rapport sur cette question, qui consiste à dire si les sanctions contre la Corée du Nord sont violées par des ports russes, coréens et syriens », a déclaré M. Grigoryev. « Les USA se fichent bien qu’il s’agisse d’un diktat. Ils exigent simplement que tous les autres pays se soumettent à leur propre législation. Il paraît évident que ceci est la préparation d’une  déclaration à venir contre la Russie, la Syrie ou la Chine. Il y a vraiment peu de chances pour que cette mesure ait un rapport quelconque avec une politique réelle – les États-Unis n’ont aucun pouvoir de juridiction sur d’autres pays – mais c’est visiblement la mise en place du socle d’une campagne de propagande ».

Outre les incertitudes grandissantes provoquées par la montée des tensions entre les États-Unis et la Russie, de hauts militaires russes ont exprimé l’inquiétude que leur causent des signes sans équivoque montrant que le Pentagone s’est engagé dans la préparation d’une frappe nucléaire préventive contre la Russie.

Préoccupations en forte hausse quant  à une attaque nucléaire

Le 28 mars 2017, le Lt. Gen. Victor Poznihir, chef adjoint de la direction des opérations principales des forces armées russes, a averti du fait que le placement de missiles anti-missiles US le long des frontières russes « a créé un puissant potentiel clandestin pour lancer une frappe nucléaire surprise contre la Russie ». Il a de nouveau exprimé cette préoccupation le 26 avril, lorsqu’il a alerté la Conférence internationale de sécurité de Moscou, l’avisant de ce que le Commandement des opérations de l’État-major russe est convaincu que Washington se prépare à mettre en œuvre cette « option nucléaire ».

Ces nouvelles terrifiantes ont été pratiquement ignorées par les médias US. Le 11 mai, le chroniqueur Paul Craig Roberts (ancien secrétaire adjoint du Trésor pour la politique économique sous Ronald Reagan et ancien rédacteur du Wall Street Journal) a cité les commentaires de Poznihir dans une publication à l’évidence bouleversée.

Selon Roberts, une recherche Google révèle que « cette plus alarmante de toutes les annonces » n’a été signalée que dans une seule publication US – La Times-Gazette d’Ashland, Ohio. Il n’en a été fait « aucune mention par la télévision US, et pas la moindre par les médias canadiens, australiens, européens ou autres, à la seule exception de RT [une agence de presse russe] et de sites Internet ».

Roberts s’est également dit très alarmé de découvrir qu’« aucun sénateur ou représentant des États-Unis, ni aucun politicien européen, canadien ou australien n’ait manifesté la moindre inquiétude à l’idée que l’Occident se prépare en ce moment à une “première frappe” contre la Russie » et qu’aucun non plus n’ait tenté la moindre démarche pour « demander à Poutine comment cette situation gravissime pourrait être désamorcée ».

(Roberts avait écrit précédemment que les dirigeants de Pékin craignent eux aussi que les USA aient un plan détaillé pour une attaque nucléaire préventive contre leur pays. La Chine, d’ailleurs, a sèchement rappelé aux États-Unis que sa flotte de sous-marins est en état de détruire leur côte ouest pendant que ses missiles balistiques détruiraient le reste du pays.)

« Jamais, de toute ma vie, je n’ai fait l’expérience d’une situation où deux puissances nucléaires étaient convaincues qu’une troisième allait les surprendre  avec une attaque nucléaire », a écrit Roberts. En dépit de cette menace existentielle, il n’y a eu, note-t-il encore, « aucune prise de conscience ni aucune discussion » sur les risques grandissants.

« Poutine multiplie les mises en garde depuis des années », ajoute Roberts. « Poutine l’a dit et répété : “Je n’arrête pas de lancer des avertissements et personne n’écoute. Comment puis-je faire pour vous atteindre ?” » [On se rappellera qu’il a dit cela à tous les médias occidentaux rassemblés, ndt]

Le Sénat US a maintenant un rôle essentiel à jouer. Le projet de loi se trouve en ce moment même devant la Commission des affaires étrangères du Sénat. La commission a l’occasion de reconnaître les graves risques existentiels que fait courir à la planète la H.R. 1644 et de veiller à ce qu’aucun projet de loi complémentaire n’aboutisse avec sa bénédiction. Si cette législation mal et précipitamment conçue est autorisée à survivre, notre propre survie – et celle de centaines de millions d’autres dans le monde – n’est nullement assurée.

 Gar Smith –29 mai 2017 – Beyond War

Gar Smith est un vétéran du Free Speech Movement, un militant pacifiste, un journaliste du projet Censored Award, éditeur émérite de Earth Island Journal, cofondateur de Environmentalists Against War, membre du conseil d’administration deWorld Beyond War, Auteur de Nuclear Roulette et éditeur du livre à paraître prochainement, The War and Environment Reader.

Article original: http://www.informationclearinghouse.info/47145.htm

Poutine a-t-il croqué Macron à Versailles? (Poutine à Macron: si tu m'emmerdes dans ton petit quinquennat de Merde, je te rase la France Gratis)

Le président français Emmanuel Macron a reçu le président russe Vladimir Poutine pour leur première entrevue. La rencontre intervient 10 ans après l'entretien entre Nicolas Sarkozy et le même Vladimir Poutine lors d'un G8 en Allemagne. En 2007, le comportement de Nicolas Sarkozy lors de la conférence de presse suivant la rencontre avait interpellé. Les analystes avaient d'abord pensé que le président français de l'époque était ivre, mais des informations ultérieures ont révélé que Nicolas Sarkozy avait été "mis KO" oralement par Vladimir Poutine (rappel des faits en fin d'article).

Pour cet entretien, la donne semble avoir changé. Vladimir Poutine et Emmanuel Macron ont eu un dialogue musclé sur la Syrie et les droits de l'Homme, le président français avertissant son homologue russe qu'il y avait "une ligne rouge" à ne pas franchir dans le conflit syrien, tout en insistant sur le fait que les Syriens devraient se plier à une recomposition géopolitique et que comme en France le Peuple n'avait pas droit de cité
 (Jus civitatis) .

"J'ai rappelé au président Poutine l'importance de plusieurs sujets"
Les experts et les citoyens français attendaient donc de voir comment leur nouveau président, Emmanuel Macron, allait gérer cette rencontre cruciale. Durant la conférence de presse qui a suivi l'entretien, Emmanuel Macron est apparu calme, décidé et ferme, suivant le "deal" que poutine lui a accordé. Devant les journalistes, le président français a expliqué avoir discuté avec Vladimir Poutine de la situation en Syrie, de la vigilance de la France quant à l'utilisation d'armes chimiques et du maintient des accès humanitaires, du terrorisme, qui a été défini comme un point commun de préoccupation...(et non d'affrontement). Et puis, Emmanuel Macron a affirmé avoir "rappelé au président Poutine l'importance de plusieurs sujets, qui touchent particulièrement à la fois nos valeurs et nos opinions publiques. J'ai rappelé l'importance pour la France du respect de toutes les personnes, de toutes les minorités, et de toutes les sensibilités. Nous avons évoqué le cas des personnes LGBT en Tchétchénie, mais également le cas des ONG en Russie", a-t-il dit, alors que Vladimir Poutine se tenait à ses côtés, écoutant la traduction dans son oreillette.

Cette intervention montre que la relation qui s'est établie ce lundi entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine semble être bien différente du contact qui s'était créé en 2007 entre Nicolas Sarkozy et le président russe. Pour Laurent Neumann, éditorialiste politique pour BFM TV, "quelque chose a changé dans la tête de Poutine". "Les sanctions commencent à peser (NDLR: les sanctions européennes suite à l'intervention russe en Ukraine). Puis le G7, dont il a été exclu, il rêve d'y faire son retour. Et puis le fait qu'avec Trump ça ne se passe pas aussi bien que prévu. Et enfin, il y a la question de la lutte contre le terrorisme. Moscou a besoin des services de renseignements européens", a expliqué l'éditorialiste suite à la conférence de presse.

Syrie: les armes chimiques et l'accès humanitaires comme lignes à ne pas franchir pour Macron

"Une ligne rouge très claire existe de notre côté, l'utilisation d'armes chimiques, par qui que ce soit, (il est convenu : sans accuser automatiquement la Syrie, car la France est aux premières loges par son aide aux terroristes d'Al Nosra-Daesh qui emploient du Gaz Sarin)", a prévenu le chef de l'État français, lors d'une conférence de presse commune avec M. Poutine.

"Toute utilisation d'armes chimiques fera l'objet de représailles et d'une riposte immédiate, en tout cas de la part des Français", a-t-il averti, alors que Moscou soutient ouvertement le régime de Bachar Al-Assad, accusé d'avoir plusieurs fois utilisé des armes chimiques dans le conflit.

M. Macron a toutefois souhaité un "partenariat" renforcé avec Moscou pour lutter contre le terrorisme dans ce pays (qui depuis Fabius "ils font du bon boulot", est armé, formé, et manipulé par la France).

"C'est le fil directeur de notre action en Syrie (car nous ne reconnaissons pas le droit du Peuple Syrien à son autodétermination
et au droit des Peuples à disposer d'eux-mêmes, qui est le principe issu du droit international selon lequel chaque Peuple dispose d'un choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence étrangère.) et ce sur quoi je veux, qu'au-delà du travail que nous menons dans le cadre de la coalition, nous puissions renforcer notre partenariat avec la Russie", a-t-il dit.

Le nouveau président français s'est prononcé en faveur d'"une transition démocratique" dans ce pays, "mais en préservant un État syrien (diminué au profit du Grand Israël)". 

Il a ainsi insisté sur le fait que les discussions en vue de cette transition devaient englober "l'ensemble des parties prenantes du conflit syrien, y compris les représentants de Bachar al-Assad".

"Dans la région, les Etats faillis sont une menace pour nos démocraties et on l'a vu, à chaque fois, ils ont conduit à faire progresser les groupements terroristes", a-t-il souligné en référence notamment à la Libye.

Ukraine: les sanctions n'arrangent rien selon Poutine

Concernant l'Ukraine, le dialogue a été plus ouvert entre les deux dirigeants. A la fermeté de M. Poutine pour qui "les sanctions" contre la Russie ne contribuent "aucunement" à régler la crise ukrainienne, le président français a répondu en rappelant qu'il y aurait "une discussion" au format Normandie, réunissant Russie, Ukraine, France et Allemagne, dans les "prochains jours ou semaines" pour éviter "une escalade" des tensions dans ce pays. "Sur ce sujet, c'est donc un processus qui doit perdurer, mais sur lequel nous avons l'un et l'autre partagé nos vues et en tout cas, j'ai pour ma part rappelé la volonté que nous puissions aboutir dans le cadre des engagements de Minsk à une désescalade", a-t-il aussi affirmé.

Droits de l'homme

Sur la question épineuse des droits de l'Homme, évoquée ouvertement, le président français a en revanche été très ferme indiquant (que d'un côté comme de l'autre nous ne les respectons pas) et qu'il serait "constamment vigilant" sur leur respect en Russie et en Tchétchénie. Selon lui, M. Poutine a promis la "vérité complète" sur la répression des homosexuels en Tchétchénie et indiqué "avoir pris plusieurs initiatives sur le sujet des personnes LGBT (et Pédophiles-Satanistes)" pour "régler les sujets les plus sensibles".

Le rôle de la Russie dans l'élection française

Les soupçons d'ingérence des hackers russes dans la campagne présidentielle française n'ont en revanche selon les deux présidents pas été abordées. "On n'en a pas parlé et de mon côté ça n'existe pas comme problème", a affirmé M. Poutine.

En revanche Emmanuel Macron a accusé des journalistes de deux médias russes, Russia Today et Sputnik, de s'être comportés en "agents d'influence" lors de la campagne présidentielle en répandant "des contre-vérités infamantes".

Vladimir Poutine, de son côté, a justifié sa décision de recevoir la candidate d'extrême droite Marine Le Pen en mars. "Pourquoi refuser une rencontre avec une personnalité intéressante pour nous?" a-t-il lancé, soulignant que "Mme Le Pen a depuis toujours travaillé au rapprochement avec la Russie".

En 2007, Sarkozy avait aussi promis de parler des dossiers compliqués... avant d'être mis KO

Rappelez-vous, en 2007, durant un sommet du G8, Nicolas Sarkozy avait promis qu'il discuterait des dossiers difficiles avec Vladimir Poutine. Mais lors de la conférence de presse qui a suivi leur face à face, le comportement du président français avait laissé croire qu'il était ivre. En réalité, Nicolas Sarkozy était sorti littéralement KO de son entretien avec Vladimir Poutine. 

D'après Nicolas Henin, journaliste au Point, et visiblement bien informé, la rencontre s'était révélée assez brutale. "Avec moi, on va parler des sujets qui fâchent", aurait lancé Nicolas Sarkozy, abordant ensuite les morts en Tchétchénie, le meurtre d'une journaliste russe... dans un long monologue. Après un silence, Vladimir Poutine aurait répliqué avec force. "C’est bon tu as fini là? Bon, je vais t’expliquer. Tu vois ton pays il est comme ça. Le mien, il est comme ça. Alors maintenant, de deux choses l’une, ou bien tu continues sur ce ton et je t’écrase, ou alors tu arrêtes de parler comme ça, et tu verras…", aurait rétorqué Poutine, remettant Sarkozy "à sa place". "Tu viens juste de devenir président de la France, mais je peux faire de toi le roi de l'Europe", aurait ajouté le président russe. 

Le ton de Vladimir Poutine aurait été "ponctué d'insultes, humiliant, de façon à vraiment imposer sa volonté à Nicolas Sarkozy", a témoigné Nicolas Henin sur France 2. "Nicolas Sarkozy va être éberlué. Il n'en revient pas... En conférence de presse, il était KO debout, du fait de l'humiliation que venait de lui infliger Vladimir Poutine", a ajouté le journaliste.

20 000 à 30 000 djhadistes drogués au captagon prêts à attaquer l’Allemagne
20 000 à 30 000 djihadistes drogués au captagon prêts à attaquer l’Allemagne

C’est seulement un nombre qui concerne l’Allemagne… Faut-il multiplier pour la France, l’Angleterre… ? Charlie Hebdo, Bataclan, première décapitation d’un entrepreneur français, Bruxelles, Nice, Berlin, Suède, Manchester, attaque du Monoprix du 13ème, nombreuses attaques au couteau en France, en Angleterre, en Allemagne, hier le London Bridge… la liste est immense et dévoile une attaque de vaste ampleur programmée contre l’Europe. Les médias mainstream mentent à leurs citoyens. Les citoyens doivent dormir comme les moutons dans leur champ et attendre bravement que le boucher vienne les chercher. Les services spéciaux ont prévu dès 2016 pour depuis mars 2017 de vastes attaques d’armées de djihadistes. La contemplation des crimes ne cesse pas chez les acteurs de la société de consommation. Lobotomisés, insensibles aux massacres en Serbie et en Ukraine aujourd’hui, les masses dorment toujours… Le chef des services secrets hongrois, des officiers des unité des forces spéciales allemandes (KSK), confirment la réalité d’une attaque par une armée de djihadistes en Europe. Berlin avait dès 2016 demandé à sa population de faire des réserves à deux reprises. L’Ukraine, avec le soutien de l’OTAN qui fabrique le captagon (drogue rendant les soldats insensibles et inhumains), a fait envoyer des djihadistes sur le Donbass auprès des soldats ukrainiens pour tuer les populations russes comme sur le modèle de la guerre en ex-Yougoslavie.

Dès mars 2017 de vastes attaques de prévues. Les services secrets hongrois ont révélé que des djihadistes infiltrés en Europe et en Allemagne se préparent à lancer de vastes attaques d’envergures massives contre la population allemande. Pour le chef des services secrets hongrois la guerre civile en Allemagne provoquée par les djihadistes est éminente .

Ces déclarations du chef hongrois et les déclarations d’autres sources aussi françaises comme allemandes montrent l’arrivée d’une attaque d’une grande ampleur en Europe. Des officiers de l’Unité des forces spéciales(KSK) ont déclaré, selon le site anonymous.ru, déjà au mois de novembre 2016 s’attendre à une attaque massive de plus de 35 000 djihadistes en Allemagne à partir du mois de mars 2017. « Nous ne sommes plus actuellement envoyés en mission à l’étranger et nous nous entraînons en particulier pour le combat de rue de maisons à maisons avec trois bataillons complets de parachutistes. Les média parlent de 5000 terroristes en action. Mensonge ! Il est question uniquement de candidats aux actions suicides. C’est bien plus ! Nous n’avons aucune chance de faire quelque chose car nous ne pouvons pas les distinguer dans la foule du fait qu’ils adoptent nos manières de vivre. Nous ne pouvons qu’attendre et de voir ce qui va se passer et peut-être intervenir en amont pour stopper les attaques. Mais tout ça n’est pas raconté aux gens. De même, personne ne va aller dire aux gens qu’il est question de 20 000 à 30 000 djihadistes de l’EI qui ne se trouvent seulement que sur le sol allemand…

Quel est le rôle de Berlin et de l’OTAN dans cette guerre voulue contre les peuples européens ? A Londres, Paris, Berlin, Vienne, les officiels de l’UE dénoncent l’islamisme et les djihadistes mais utilisent les djihadistes auprès des forces de Kiev contre la Russie en Ukraine ! Vous, vous comprenez la vaste manipulation ?

Le droit de cité dans la Rome Antique, le Peuple avait encore des Pouvoirs!

Le droit de cité ou droit du citoyen (Jus civitatis) appartenait à l'origine, à tous les habitants de Rome et de son territoire. La nécessité d'agrandir et de fortifier l'Etat, le fit accorder sans difficulté à tous les petits peuples qu'on subjugua d'abord; mais les privilèges du titre de citoyen croissant avec l'importance de la république, la concession de ce droit devint de plus en plus rare; on ne l'accorda que pour récompenser de grands services, et des rois puissants le sollicitèrent comme une faveur, sans pouvoir l'obtenir. Les droits attachés au titre de citoyen romain, droits que l'imagination des peuples et l'orgueil de Rome rendaient plus imposants encore, étaient, en effet, d'un grand prix, au milieu de l'asservissement général.

On distingue en droits publics ou politiques :

- Jus libertatis : le droit de liberté. Tout citoyen était libre et nul n'avait pouvoir sur lui, hors de l'action des       lois. Il n'était pas permis d'ôter la vie à un citoyen; on ne pouvait pas le battre de verges; tout citoyen pouvait en       appeler au peuple d'une sentence des magistrats.

- Jus suffragii : le droit de suffrage. Chaque citoyen pouvait concourir, par son vote, à l'exercice du pouvoir       souverain.

- Jus honorum : le droit de parvenir aux charges publiques. Ce droit fut longtemps refusé aux plébéiens.

- Jus sacrorum : le droit de culte. Indépendamment des cérémonies publiques de la religion, auxquelles tout       citoyen était admis, chacun avait droit de pratiquer, chez lui, les rites particuliers qui lui convenaient. En général,       chaque famille avait les siens.

- Jus census : le droit de cens. Les citoyens seuls pouvaient être inscrits dans le registre des censeurs.

- Jus militiae : le droit de service militaire. Les citoyens seuls étaient admis dans les légions.

- Jus tributorum : le droit de payer l'impôt. C'était une grande habilité d'avoir fait un honneur de ce qui partout       ailleurs est une charge, le service militaire et l'impôt1.

Les droits particuliers ou civils :

- Jus gentililatis et familiae : le droit de famille. Chaque famille avait ses droits particuliers; on ne pouvait pas         passer d'une famille patricienne dans une plébéienne, et réciproquement, que par adoption.

- Jus connubii : le droit de mariage. Le citoyen ne pouvait, sans la permission du peuple, épouser une esclave ou         une étrangère.

- Jus patrium : le droit paternel. C'était le droit de vie et de mort du père sur les enfants.

- Jus dominii : le droit de propriété.

- Jus testamenti et hereditatis : le droit de tester et d'hériter.

- Jus tutelae : le droit de tutelle.

La réunion de tous ces droits formait ce qu'on appelait le Jus quiritium. Les droits politiques se nommaient plus spécialement droit de cité (Jus civitatis). Ajoutons que le citoyen romain ne pouvait être dépouillé de son titre que volontairement. Mais comme avec de pareils privilèges, il n'y avait pas de lois pénales possibles, il avait bien fallu trouver des subterfuges pour éluder l'application de ces principes fastueux. Comment, en effet, concilier, avec le droit de citoyen, la peine de mort, l'exil, la prison ?

On supposait donc, dès qu'un citoyen était condamné à mort, qu'il devenait esclave, et esclave de peine, véritable subtilité. S'agissait-il de le condamner à l'exil, on ne le bannissait pas, mais on lui retirait l'usage du feu et de l'eau : c'était bien le forcer de partir; puis, comme il lui fallait vivre ailleurs, et par conséquent devenir citoyen d'une autre ville, il se trouvait avoir renoncé au titre de citoyen romain. D'ailleurs, au maintien de ces privilèges étaient attachées des conditions sévères. Quiconque manquait de se présenter au cens, ou ne répondait pas à l'appel pour le service militaire, était supposé avoir renoncé au titre de citoyen et on pouvait le vendre comme esclave. Enfin, le citoyen romain portait un vêtement distinctif, auquel il ne pouvait renoncer sans s'avilir, la Toge.

Les historiens romains font remonter jusqu'à Romulus la division du peuple romain en deux classes ( cf. Fondation de Rome, division de ses habitants) et pour sanctionner par des idées républicaines une institution toute royale, on imagina dès cette origine même, une élection populaire. Romulus ayant partagé en trois tribus tous les habitants renfermés dans l'enceinte de sa ville, et chacune de ces tribus en dix curies, chargea chacune de ces curies d'élire trois représentants, puis chaque tribu, ses curies réunies, d'en désigner trois, et, enfin qu'il ajouta à ces quatre-vingt-dix neuf pères, l'élu de son choix. De la sorte, la royauté n'entrait que pour un centième dans l'exercice de la souveraineté : c'était toute la part que l'orgueil romain pouvait accorder au créateur de la nation.

Cette élection, en se renouvelant après l'adjonction des Sabins, avait porté à 200 le nombre des pères. Leurs descendants s'appelèrent patriciens; et tel était le respect qu'on portait à la mémoire de Romulus, que Tarquin l'ancien en ayant fait élire 100 autres, les descendants de ces derniers furent toujours nommés petits patriciens (patricii minorum gentium); le reste du peuple s'appelait plebs, les plébéiens. Il fallait consacrer aussi dès l'origine, par des intérêts réciproques, ce principe d'inégalité, sans lequel il n'y a pas de gouvernement possible. Romulus voulut que chaque plébéien se choisit un protecteur parmi les pères de la nation, et que ceux-ci à leur tour, en recevant les honneurs de l'autorité paternelle, en acceptassent toutes les obligations; de là les patrons et les clients.

L'histoire de Rome n'est que l'histoire des discordes perpétuelles entre les deux ordres. L'orgueilleuse ambition de l'un, l'inquiète susceptibilité et les brutales agressions de l'autre semblent à chaque instant devoir amener de sanglantes révolutions, et tout à coup l'énergique démonstration d'un pouvoir extraordinaire fait tout rentrer dans l'ordre, ou bien une concession habile dont le vainqueur dédaigne de profiter, ou plutôt n'ose pas faire usage, calme les agitations les plus longues et les plus violentes. A Rome, les traditions nationales faisaient la loi suprême, la loi des consciences, toujours plus puissantes que les autres lois; c'est qu'on crût regardé comme un crime de porter atteinte, même dans sa pensée, à une distinction née avec l'Etat, identifiée avec lui, vielle comme le Capitole, et comme lui réputée indestructible; c'est qu'à Rome, en un mot, tout était dit quand on s'était écrié : more majorum (suivant la coutume des ancêtres).

Chaque plébéien avait dû à l'origine, se choisir un patron dans l'ordre des patriciens; ce choix une fois fait et accepté devenait une obligation pour les descendants de l'un et de l'autre : les clientèles étaient héréditaires, et s'étendaient en ligne directe, de la part du patron, sur la famille du client. Ce dernier ne pouvait changer le patronage que dans le cas où son patron mourait sans héritiers : alors il en choisissait un autre. Les devoirs réciproques du patron et du client étaient dans la plus stricte régularité, ceux du père et du fils. Le premier devait dans toutes les circonstances, protection et appui à son client; il devait lui expliquer les lois, le défendre devant les tribunaux, le secourir dans le besoin, et, si ce dernier était pauvre, pourvoir à l'éducation de ses enfants et à la dot de ses filles. Le client, de son côté, devait, en toute occasion, consulter son patron, lui donner son suffrage pour les magistratures auxquelles il aspirait, subvenir de même à ses besoins et à la dot de ses filles, s'il y avait lieu, et lui témoigner toujours le plus profond respect, assister à son lever, l'escorter dans les rues, lui faire partout cortège en public. Jamais l'accusation, jamais le témoignage de l'un contre l'autre ne pouvait être admis en justice; et si le client mourait sans enfants et sans avoir testé, le patron était son héritier légitime.

On conçoit qu'avec ces liens réciproques, que la religion et la tradition avaient rendus sacrés, les deux ordres ne pouvaient jamais être entraînés par la politique jusqu'à des luttes d'extermination, même jusqu'à des haines durables et dangereuses. Chaque membre de la minorité aristocratique avait son parti et ses appuis dans la grande majorité populaire. On conçoit même, que la clientèle de chaque patricien augmentant en raison de son influence dans l'Etat, plus un patricien était dangereux pour les intérêts du peuple, soit à cause de son pouvoir, soit à cause de ses richesses, plus il avait de soutiens et, au besoin, de défenseurs parmi ce peuple même. Ainsi, une révolution démocratique avait peu de chances de succès; il n'y avait d'autre despotisme possible que le despotisme d'un seul.

1. Cet impôt, qu'on appelait tributum, pour le distinguer de l'impôt des provinces, vectigal, était de trois sortes : la taxe personnelle (in capita), celle sur les biens (ex censu) et l'impôt extraordinaire (tributum temerarium), qu'on levait dans les besoins de l'Etat. Ces impôts furent supprimés après la conquête de la Macédoine par Paul-Emile.

Le résultat final des « fausses élections présidentielles françaises »

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Le résultat final des « fausses élections présidentielles françaises »

Selon le site du Ministère de l’Intérieur, il y a finalement, contrairement aux chiffres qui avaient été donnés au premier tour, 47 581 118 inscrits sur les listes électorales. Ce chiffre du Ministère de l’Intérieur n’est jamais le même à chaque publication : il varie constamment et pour le second tour il a été aussi déclaré à 47 568 588 d’inscrits.

L’abstention s’élève à 25,44% des inscrits. Ce qui donne : 12 104 636 inscrits.

Les votes blanc et nuls s’élèvent à 12% des votants. Ce qui donne : 4 265 171 votants.

Les abstentions ajoutées aux votes blancs et nuls, donnent le chiffre de : 16 369 807 voix.

Les voix prises en compte dans l’élection s’élèvent donc au nombre de : 31 211 311.

Marine Lepen a fait 33,90% des voix exprimées. Ce qui donne : 10 580 634 voix exprimées. Le site du Ministère de l’Intérieur donne le chiffre de : 10 644118 voix pour Marine Le Pen. Ce qui veut dire que les inscrits du point de départ ne sont pas le nombre annoncé par le Ministère de l’Intérieur.

Les voix exprimées restantes pour Emmanuel Macron s’élèvent donc au nombre de : 20 630 677 voix exprimées. 66,10% de 31 211 311 = 20 630 677 voix exprimées. Le site du Ministère de l’Intérieur donne le chiffre de : 20 753 798 voix pour Emmanuel Macron. Ce qui confirme une imprécision sur les inscrits du départ.

Le nombre de Français inscrits et ayant le droit de vote et qui n’ont pas choisi Macron pour président, s’élève donc à : 27 013 925 citoyens.

De nouveau, une large majorité de Français n’a pas voté Emmanuel Macron. La majorité des Français n’a pas voulu qu’il soit placé à la présidence de la République Française !

C’est une minorité de Français qui a imposé ce président à la majorité des citoyens de ce pays ! On retrouve encore logiquement la perversion du système électoral de la 5ème République et l’injustice qu’elle fait régner dans cette parodie de « démocratie »… Une minorité, comme on le voit dans cette élection, peut, en réalité, s’imposer très facilement à une majorité : en résumé, 20 millions de voix l’emportent sur 27 millions de voix !

Comment, dès lors, accorder une légitimité quelconque au nouveau Président élu? Où va-t-il trouver une majorité gouvernementale nécessaire pour conduire le pays, selon la Constitution de la 5ème République, puisqu’il n’a pas le projet de réformer celle-ci?

Comme nous l’avions commenté dès le début de cette campagne électorale 2017, le scénario Macron avait été soigneusement écrit d’avance, puis exécuté au détail près, mis scrupuleusement en scène, avec les chiffres des sondages eux aussi prévus déjà très largement en avance, sans oublier le dévouement inconditionnel de l’ensemble des médias collabos, tout cela faisant des élections présidentielles françaises 2017, une fausse élection…

Tout s’est bien déroulé sans le moindre écart des prévisions et des diagnostics du monde médiatique, puisque tout était prévu d’avance, pensé d’avance, voulu d’avance, organisé d’avance, et imposé comme convenu sans le moindre doute sur l’issue finale. Des élections pipées, donne une fausse élection présidentielle.

Les nombreuses irrégularités du premier tour demeurent bien entendu sans réponses…

Les informations sérieuses, confirmées, documentées, prouvées sur les scandales et la corruption concernant certaines personnes dont un appui politique majeur de Macron, François Bayrou, restent muettes…

Que vont dire aujourd’hui, lundi 8 mai, les escrocs du QG Macron sur le sabotage des élections françaises réalisé par Sputnik et RT ? Si les élections présidentielles françaises ont vraiment été sabotées par les médias Russes, comme le QG Macron l’a sérieusement soutenu dans une violente accusation, cela veut-il donc dire que Emmanuel Macron est le candidat favori de Poutine, puisque c’est lui qui apparemment a largement profité du sabotage russe?

L’équipe au pouvoir, largement désavouée par les Français, s’est donc arrangée astucieusement pour rester au pouvoir, malgré une impopularité record. Hollande va survivre à lui-même à travers le candidat qu’il a si habilement placé dans la course à l’Elysée. Il triomphe, jubile et va sans doute désormais se taper sur le ventre en traitant les Français « d’enquenellés » ! Même si Macron n’a convaincu qu’une minorité de Français, peu importe, du moment que la perversion du système électoral aidant, lui permettait d’obtenir le dernier mot sur la volonté du peuple bluffé par ce jeu de dupes !

En 2017, la situation de la France et des Français s’est considérablement dégradée. Ce pays est désormais une authentique colonie des USA, puisque son tout jeune président est l’homme converti aux standards nord-américains par excellence. Il avait annoncé la poursuite assidue de cette vassalité, jusque dans la guerre illégale qu’il allait continuer et intensifier aux côtés des USA. Cette guerre il la ferait sans hésiter, « même sans mandat de l’ONU » ! Il va de soi que si un mandat de l’ONU était le dernier de ses soucis, déjà comme candidat, on peut imaginer ce que peut représenter dans son esprit de président élu, l’aval du Parlement, du Sénat et du peuple : une question qui ne se pose même pas !

La leçon de ces élections :

Un représentant « commercial » envoyé en mission par la Banque Rothschild dirige la France aujourd’hui. On ne peut pas rêver un scénario plus idéal pour exprimer la façon dont le Grand Capital Financier organise son pouvoir absolu sur le monde entier. Ce pouvoir exorbitant montre son visage rayonnant de plaisir : il a gagné, il est le Maître, c’est lui qui décide et qui met en place ses pions disciplinés pour une ère de profits démesurés assurés par des peuples enfin dressés et soumis au dictat de la Loi de l’argent…

 Jean-Yves Jézéquel

source: http://www.mondialisation.ca/le-resultat-final-des-fausses-elections-presidentielles-francaises/5589120

Le pape François bénit un commando ukrainien qui va massacrer des Russes du Donbass !
Le pape François bénit un commando ukrainien qui va massacrer des Russes du Donbass !

Les images sont fortes. De nombreuses figures religieuses, intellectuelles, dénoncent le Vatican depuis Vatican 2 et sa réforme qui a mis au pouvoir la franc maçonnerie à la tête de l’église et le culte du diable. L’église catholique aujourd’hui suit des chemins destructeurs pour la civilisation européenne en faisant alliance avec ce qui ne respecte pas le sacre et le dogme chrétien. Le Vatican confirme son alliance avec l’antéchrist quand on apprend que ce dernier a accordé une aide de plusieurs millions à l’Ukraine de Porochenko ! C’était déjà en 2016. En 2017, le pape François en personne a béni le 25 mai 2017 à Rome un commando spécial chargé de massacrer les populations russophones du Donbass ! Rien ne va plus au Vatican ! Le diable dirige !

Le Vatican donne plusieurs millions à l’Ukraine !

Tueur d’enfants, de civils, nazisme. L’Ukraine de Porochenko cultive la volonté d’exterminer la culture russe, les populations russophones, bombarde avec son armée des civils dans le Donbass et le Vatican a décidé d’envoyer plusieurs millions ! L’église catholique finance directement ceux qui sont complices de volonté de génocide en Ukraine ! Ceux qui forment des enfants dès le plus jeune âge dans des formations paramilitaires pour tuer du Russe  ! C’est un immense scandale ! Les dons des chrétiens sont utilisés pour financer la guerre en Ukraine. L’église catholique aide un régime qui tue, torture  et bombarde les populations civiles dont les enfants chrétiens !

Eglises vides.

Ce n’est pas étonnant de voir que les églises en Europe soient vides, froides et mortes ! Satan s’est installé à Rome ! Le pape allemand connu pour avoir servi sous l’uniforme des jeunesse hitlérienne et pour avoir soutenu des pédophiles au sein de l’église étant lui même accusé de pédophilie et le pape actuel qui soutient l’arrivée de l’islam en Europe et le régime de Porochenko en Ukraine sont bien les petites mains actives de Satan !

Le Vatican soutient donc l’OTAN dans sa volonté de guerre contre la Russie et use des organisations dites chrétiennes pour nourri un régime qui sème la mort. On peut craindre le pire quand on sait que Caritas en Allemagne finance et gère les organisations qui contrôlent et volent les enfants en Allemagne et dans le monde avec l’aide de l’ONU, cette même ONU, qui avec l’OTAN, importe des réfugiés.

Le pape François bénit les tueurs ukrainiens.

Le 25 mai 2017 le pape François a donné la sainte bénédiction à un régiment de soldats ukrainiens qui a reçu l’ordre de ratisser le Donbass pour faire disparaître les populations russes ethniques opposées au régime de Porochenko. On voit le pape François avec le commando ukrainien, faire la promotion de l’Ukraine et de ce commando de tueurs ! Les images sont fortes et brisent les idéaux universelles. Le pape François a posé à côté de grandes photos de soldats ukrainiens qui sont en mission dans le Donbass pour tuer les Russes ! Des images diaboliques !

A ce niveau là, il est bien évident que les églises, sauf l’église traditionnelle romaine, vont continuer de se vider pendant que les églises orthodoxes continuent de se remplir de fidèles. Il faut voir le nombre de visiteurs qui rentrent dans la nouvelle église russe à Paris pour comprendre que Dieu se trouve en Russie. Le Vatican finance un pays qui est aidé par les USA, l’Union européenne ! Satan se trouve au Vatican et finance le régime qui fait la guerre en Ukraine  ! Le pape François montre à quelle entité diabolique il s’adonne !

Avec l’aide de Dieu! Ce que font bénir les Russes
Alors que les prêtres russes bénissent des monastères, des croix et des églises, le pays a une pratique curieuse consistant à faire bénir des serveurs, des boutiques et des armes.

La bénédiction est le processus d’acquisition de la sainteté, le chemin pour être fait ou devenir saint. Étymologiquement, « bénir » comme le mot russe « освящение (osviachtchenié) » signifient littéralement« rendre saint ». L’église orthodoxe russe bénit généralement les nouvelles églises, les croix et l’eau, mais de nombreux autres objets et projets peuvent également être bénis.

Crédit :  Youri Smityuk / TASS Crédit : Youri Smityuk / TASS

Parmi les objets bénis les plus curieux – avions de guerre, chars et missiles. S’ils sont conçus pour tuer dans les guerres, l’église orthodoxe les considèrent comme « nécessaires bien qu’indésirables » sous certaines conditions.

Crédit : Sergei Metelitsa / TASSCrédit : Sergei Metelitsa / TASS

Outre les armes, les prêtres orthodoxes peuvent bénir le drapeau russe, des agents de police et leurs voitures de patrouille, ainsi que des villes entières.

Crédit : ReutersCrédit : Reuters

Des bénédictions pas si uniques portent également sur des stations de métro et des bâtiments.

Crédit : Service de presseCrédit : Service de presse

L’eau bénite, utilisée pour bénir des objets, et les câbles et autres appareils électroniques ne vont pas très bien ensemble, mais de nombreux prêtres continuent à jeter de l’eau sur des serveurs et des ordinateurs.

Crédit : APCrédit : AP

Les routes russes, qui affichent des taux d’accidents en voiture très élevés, peuvent également être bénites.

Crédit : rk.gov.ruCrédit : rk.gov.ru

Pourtant, parmi les cas les plus étranges de bénédiction, on retrouve les robes blanches des médecins et, apparemment, un club de striptease.

Crédit : Taras Litvinenko / RIA NovostiCrédit : Taras Litvinenko / RIA Novosti

La bénédiction des maisons, appartements et voitures est un phénomène répandu chez les Russes croyants. Le coût varie selon le prêtre, car il n’existe pas de liste de tarifs, et techniquement la bénédiction peut être gratuite.

Les prêtres musulmans peuvent également bénir un appartement à titre gracieux. Cependant, les règles de politesse imposent qu’on paie au moins 1 000 roubles (16 euros) pour la bénédiction d’un appartement.

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Soif de miracle: en Russie, 20 heures d’attente pour voir des reliques sacrées

La veille de Pâques, les orthodoxes dans l’attente du « feu sacré »

Olivier Renault

Histoire du Massacre des Saints Innocents. Satan-Lucifer, gardien de la Terre et de son Enfer et de ses Eglises, qui n'existe pas selon l'Antipape Apostat, en relation avec les Illuminatis, les Francs-Maçons, les Bilderbergs et Macron, compte bien détruire l'avènement possible du Ministère de Dieu.

Cette tempera sur toile est exposée au musée du Capodimonte à Naples. Pour en savoir plus sur Naples et le musée du Capodimonte.

 

Le Massacre des Saints Innocents

 

Le massacre des Saints Innocents

 

Cet événement n’apparaît que dans l’Evangile de saint Mathieu, puis dans le Protévangile de Jacques le Juste, apocryphe du IIème siècle. La Légende Dorée de Jacques de Voragine (1228 – 1298) assura la diffusion du culte des Saints Innocents en Europe.

Des Mages (Rois pour plusieurs Pères de l’Eglise) à la recherche du Roi des Juifs qui venait de naître, interrogèrent Hérode le Grand (Hérode d’Ascalon) roi de Judée sur le lieu de naissance de ce nouveau-né. Ce dernier les envoya à Bethléem, ville annoncée par le Livre du Prophète Michée comme lieu de naissance du Messie, les priant après l’avoir trouvé de revenir afin que lui aussi puisse aller lui rendre hommage. Pour en savoir plus sur les Rois Mages.
Avertis par un Ange de ne pas repasser par Jérusalem, les Rois Mages regagnèrent leur pays par un autre chemin. Hérode se voyant trompé, envoya ses soldats à Bethléem pour y tuer tous les enfants de 2 ans et en-dessous, espérant ainsi faire périr un éventuel concurrent temporel..

La mort de ces enfants accomplissait la prophétie de Jérémie.

Après de départ des Mages, un Ange avait averti Joseph du massacre qui se préparait et lui avait ordonné de fuir en Egypte avec sa femme et l’enfant. Pour en savoir plus sur la fuite en Egypte.

LES SAINTS INNOCENTS sont fêtés le 28 décembre et honorés comme des Martyrs car ils furent les précurseurs de tous ceux qui allaient périr pour affirmer leur foi.

Détail du Massacre des Saints Innocents

 

L’oeuvre

 

Cette tempéra sur toile fut peinte vers 1480 suite à une commande d’Alphonse II d’Aragon, duc de Calabre, pour honorer les 800 habitants d’Otrante qui, ayant refusé de renier leur foi, furent tués par les turcs le 14 août lors du sac de cette ville.

L’action se passe curieusement dans le palais d’Hérode assis sur un trône de marbre, aux accoudoirs ornés de bêtes fauves. La coquille qui le surplombe est nettement de style renaissance. Hérode porte sa couronne; sa tunique dorée semble recouvrir une armure aux jambières décorées de têtes humaines ainsi qu’on le voit dans les armures de parade de l’époque.

Sous le regard désapprobateur d’un conseiller, la tête recouverte d’un turban seule allusion aux turcs, et à la barbe blanche, signe de sagesse, Hérode, le bras tendu, le visage crispé, ordonne aux soldats de poursuivre leur œuvre.

Un témoin, caché derrière une fenêtre grillagée, assiste au spectacle. Les soldats, curieusement revêtus de tenues très diverses, poursuivent les mères et arrachent de leurs bras les enfants qu’ils vont tuer.

Hérode dans le Massacre des Saints Innocents

 

Au premier plan, devant une femme qui se tord les mains de désespoir, des enfants ensanglantés jonchent le sol. A l’arrière-plan, dans une perspective très réussie, règne le chaos d’où surgissent des épées, des bras levés désespérément vers le ciel et un enfant brandi à bout de bras, soit par une mère espérant le sauver, soit par un soldat qui s’en est emparé. Dans cette peinture au réalisme poussé à l’extrême, la gamme chromatique est très riche. La pâleur du visage des mères, le rose de la tunique du soldat au visage noirâtre, le bleu du soldat casqué, le rouge des robes, toutes ces couleurs sont dominées par la tunique d’or d’Hérode.

Détail du Massacre des Saints Innocents

 

Pour en savoir plus sur l'artiste :

Matteo di Giovanni ou Matteo di Giovanni di Bartolo, né à Borgo Sansepolcro en 1430, mort à Sienne en 1495, commença à travailler à Sienne comme peintre et doreur dans l’atelier de Giovanni di Pietro. Il fut influencé par Pierro della Francesca son contemporain avec lequel il travailla sur certains tableaux. Bien intégré dans la ville de Sienne, il y fut vite considéré comme un maître de la peinture siennoise. Il reçut des commandes, aussi bien civiles que religieuses, des villes de Sansepolcro, Pienza, Padoue et bien sûr Sienne. Il s’éloigne peu à peu du style hiératique et mystique de la peinture siennoise toujours attachée au style bysantin pour le réalisme et l’étude de la perspective de l’école florentine. Il fut le maître du Guidoccio Cozzareli, connu pour son œuvre de miniaturiste.

 

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