WWIII : Mouvement pour la Démocratie de la Laosophie, pour remédier à un contexte de Guerres contre l'Humanité.

Publié le par José Pedro

La Laosophie est une philosophie de l'existence, très ancienne puisque nous l'avons fait remonter aux sources mêmes du début de la Philosophie Grecque, soit au VIIème siècle avant notre ère par l'intermédiaire de la première femme philosophe, ou défendue comme telle, je parle de SAPPHO la prêtresse d'Aphrodite de l'Île de LESBOS ou MYTILENE dont nous avons pris comme emblème la tête émanant du sculpteur Grec Praxitélès ou Praxitèle.
 
Elle serait née vers 630 av. J.‑C. à Mytilène ou Eresós et morte vers 580 av. J.‑C. Elle a été contemporaine du poète Alcée, lui aussi originaire de Lesbos. Il s'agit bien entendu de la poétesse et philosophe, et non celle du même nom qui était Lesbienne parfois dite « Sappho d'Érèse », joueuse de lyre, ou courtisane.
 
Un résumé de sa vie et une monnaie de son époque, trouvée dans son temple à Erésos, portant les inscriptions LAOS (Peuple) et MNAS (Monnaie), sont relatés ci-dessus dans la présentation de la Laosophie.
 
Grâce à la monnaie, et à la recherche de la toute première Laïcité, car le mot Laïcité, vient de la racine grecque LAOS, on s'aperçois que la Laïcité est beaucoup plus ancienne que la période Révolutionnaire, et qu'elle représente l'ensemble du Peuple (élu et non élu), qui s'organise avec ses croyances diverses, sans remettre en cause le pouvoir temporel, avec la latitude de rendre hommage aux Dieux, ce que fait SAPPHO en tant que prêtresse d'Aphrodite, et aux 12 Dieux de l'Olympe, en particulier ZEUS, qui accorde le Libre Arbitre aux hommes, et l'autodétermination dans l'organisation sociale.
 
La Laosophie est donc un Gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le peuple, ce qui est déjà dans notre constitution article 2 de la Vème République, mais également la devise des USA par Abraham Lincoln. Selon la célèbre formule d'Abraham Lincoln (16e président des États-Unis de 1860 à 1865) prononcée lors du discours de Gettysburg, la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ». C'est l'une des définitions canoniques couramment reprises, ainsi qu'en témoigne l'introduction de la Constitution de 1958 de la Cinquième République française.
 
Cette définition est proche du sens étymologique du terme démocratie. La démocratie est décriée, car dans sa forme, et on le voit bien le Diable se glisse dans les détails, ce qui est à l'origine de la racine Demos. Il est souvent repris dans les dictionnaires modernes que le mot démocratie signifie « pouvoir du peuple » (demos kratos). Cependant plusieurs racines semblent désigner le mot peuple :
 
–Ochlo du grec « okhlo » semble désigner un groupe d’individu dans son ensemble abstrait. Souvent traduit par « foule » ou « populace »
–Laos toujours en grec semble signifier la même chose mais avec une notion d’ensemble davantage défini comme celui d’une tribu, une nation, un ensemble qui partage une même culture.
-Le démos, vient de daiomai qui signifie « diviser « partager » (racine « dia ») . Chez Homère le « demos » peut signifier « une parcelle » ou « une part de territoire ».
Un peu plus étrange :
Le substantif daimon (de daiomai) a donné par la suite le terme démon. Il avait une connotation moins négative qu’aujourd’hui à l’antiquité en désignant la « conscience » qui fait la part entre le bien et le mal. L’étymologie de diable serai également intéressante à approfondir car elle partage la même racine dia-balos qui signifie « séparer de dieu ». De là à dire que le terme démocratie pourrait signifier « pouvoir du diable » serai présomptueux mais un spécialiste du grec ancien nous donnerait certainement un éclairage intéressant sur le sujet.

Le LAOS

Laos signifie le Peuple de Dieu , la Nation prise dans son ensemble. C'est du mot grec LAOS que vient le mot Laïque. Seul le Peuple est souverain, ce qui n'est pas le cas dans la DEMOSOPHIE. Le Laos, mot Grec d'où est tiré le mot laïcité, signifie le Peuple de Dieu au sens le plus large, la Nation de tous les citoyens, et donc elle inclut également l'Oeuvre de Dieu et sa reconnaissance par les Hommes. la Théocratie se veut un Gouvernement de Dieu, exprimé par ses soit disant représentants sur terre l'Eglise, les Eglises, Les papes, les prélats, les imams, le mahdi, le Christ, les Hassidims, sionistes-religieux, les Haredims, craignants Dieu, Les Mitnagdim, ou « opposants », etc, etc. Le Laos a la particularité d'être la laïcité avec la reconnaissance de Dieu et le Libre Arbitre des Hommes, un consensus!

Voici son histoire:

Quelle est l'origine et la signification exacte de ce mot laïque, d'où la génération contemporaine a tiré le néologisme laïcité ? Test ce que nous allons essayer d'expliquer en quelques lignes.

Au moyen âge, on disait lai. Il y avait dans les couvents des frères lais, des soeurs laies : c'étaient des personnes qui, vivant dans l'enceinte d'une communauté monastique sans avoir prononcé de voeux, y remplissaient des offices de domesticité. La forme laïque est moderne. Les deux vocables, lai etlaïque, sont ce qu'en grammaire historique on appelle des doublets : ce sont deux formes du même mot, l'une populaire et l'autre savante (comme le sont, par exemple, les formes frêle et fragile, raide et rigide, pâtre et pasteur, porche etportique, etc.). L'une et l'autre forme représente le latin laïcus : lai est la forme populaire qui date des premiers temps de notre langue ; laïque est la forme savante, qui n'a été employée qu'à partir du seizième siècle. Et le mot populaire reproduit plus exactement l'original latin que ne le fait le mot savant, quoi qu'il en puisse paraître à première vue. En effet, dans le mot laïque, créé à une époque où l'on avait perdu le souvenir de la prononciation du latin, l'accent tonique a été déplacé et reporté sur la terminaison ique, tandis que, dans le mot latin, il était sur la syllabe initiale la. Le mot lai, malgré 1' « effritement » dû à un long usage, malgré cette réduction à la forme monosyllabique que lui a donnée le parler populaire, est donc plus rapproché du latin que le vocable trisyllabique minutieusement calqué lettre à lettre sur laïcus.

Mais que voulait dire ce mot latin, et d'où venait-il ? On en chercherait vainement l'étymologie dans les racines propres à la langue de Rome ; c'est un mot étranger, c'est la transcription de l'adjectif grec laïkos, et celui-ci est dérivé du substantif grec laos, qui signifie « peuple », « nation ». Le véritable sens, le sens primitif et étymologique du mot lai ou laïque est donc celui de « populaire » ou « national » : ce mot fut employé dans les premières communautés chrétiennes, où l'on parlait grec (on sait que le grec est la langue des Evangiles) ; il servit à désigner — au moment où dans ces communautés se constitua un clergé distinct du peuple et élevé au-dessus des simples fidèles — ceux qui n'étaient pas du clergé, ceux qui formaient la masse populaire.

Une façon de mieux déterminer la valeur exacte du mot laïque, c'est de rechercher quel est son contraire, quel est le mot qui s'oppose à lui, comme par exemple civil s'oppose à militaire, ou public à privé, etc.

Le mot qui s'oppose, étymologiquement et historiquement, à laïque, de la façon la plus directe, ce n'est pas ecclésiastique, ni religieux, ni moine, ni prêtre : c'est le mot clerc.

Le mot clerc, qui aujourd'hui a reçu plusieurs acceptions assez éloignées l'une de l'autre, n'a eu à l'origine qu'une signification unique : celle de « membre du clergé ». Il a été formé du latin clericus, par « éviscération » d'abord, c'est-à-dire par l'élimination de la voyelle placée au coeur du mot, l'i, et la contraction des parties restantes, et ensuite par la chute de la désinence us. Clericus a, comme laïcus,donné des doublets : à côté du mot clerc, substantif, de formation ancienne, le français moderne a créé un adjectif, clérical, qui est une forme savante, calquée sur le patron latin ; clérical est à laïque ce que clerc est à lai.

Comme pour le mot laïque, ce n'est pas le latin qui nous fournira la racine declerc et de clericus : il faut remonter jusqu'au grec. Le latin clericus est la transcription de l'adjectif grec klêrikos, dérivé du substantif klêros, qui a pris, dans le langage des auteurs ecclésiastiques, le sens de « clergé », mais qui signifie originairement « lot ». Ceux qui font partie du klêros, ce sont ceux qui forment le « bon lot », ceux qui ont été « mis à part », les « élus », c'est-à-dire, au début, les chrétiens par opposition aux gentils, et, plus tard, dans la société chrétienne, les prêtres par opposition à ceux qui ne l'étaient pas. La transcription latine du grec klêros est clerus, qui a passé dans l'allemand sans changer de forme et dans l'italien et l'espagnol sous la forme clero. Notre mot français clergé,dont la forme ancienne est clergie (état de celui qui est clerc), n'a pas été tiré directement du latin clerus, mais a été dérivé du français clerc.

Ces recherches étymologiques conduisent à autre chose qu'à la satisfaction d'une vaine curiosité. Les constatations que nous venons de faire portent avec elles leur enseignement. Le clergé, les clercs, c'est une fraction de la société qui se tient pour spécialement élue et mise à part, et qui pense avoir reçu la mission divine de gouverner le reste des humains, ils sont dans le démos; l'esprit clérical, c'est la prétention de cette minorité à dominer la majorité au nom d'une religion. Les laïques, c'est le peuple, c'est la masse non mise à part, c'est tout le monde, (les clercs exceptés, et l'esprit laïque qui se dissout dans la globalité du peuple), c'est l'ensemble des aspirations du peuple, du laos, c'est l'esprit démocratique et populaire.

http://laosophie.chez.com

Laos, le peuple. Ecclesia, l’assemblée. Ce sont deux mots grecs qui nous occupent. Mais il faut être plus précis. Laos, c’est le peuple en tant que foule, masse non organisée, un tas d’individus particuliers. Le laos s’oppose donc au demos, qui est le peuple pris dans sa dimension politique. L’ecclesia, elle, c’est l’assemblée ou la convocation du demos, le peuple certes, mais le peuple appelé car tel est l’étymon de l’église : kaleo, j’appelle, d’où clameur, clairon, clarté, calendes, calendrier, nomenclature, concile, proclamation ou chamade, qui ont tous le même radical indo-européen KLE. L’église c’est donc l’appel au peuple, au laos qui, convoqué, devient demos. Quand l’église a le pouvoir, cela a un nom :démocratie.

Puis vinrent les Septante. La Septante (LXX, latin : Septuaginta) est une version de la Bible hébraïque en langue grecque. Selon une tradition rapportée dans la Lettre d'Aristée (IIe siècle av. J.-C.), la traduction de la Torah aurait été réalisée par 72 (septante-deux) traducteurs à Alexandrie, vers 270 av. J.-C., à la demande de Ptolémée II.
Par extension, on appelle Septante la version grecque ancienne de la totalité des Écritures bibliques (l'Ancien Testament). Le judaïsme n'a pas adopté la Septante, restant fidèle au texte hébreu, et à des traductions grecques ou araméennes (Targoum) plus proches dudit texte.

Ils choisirent laos pour dire le peuple de Dieu, car demos sans doute était trop politique c’est-à-dire, paradoxalement, trop laïque au sens courant d’aujourd’hui : humain, trop humain… C’est ainsi que laïque finit par désigner jadis le peuple chrétien, c’est-à-dire l’Église, l’assemblement des hommes à l’appel du Fils. C’est le premier sens du mot laïque dans nos langues, il convient de ne pas l’oublier. Excusez-moi de remonter aux calendes, c’est-à-dire, comme je viens de le rappeler, à la clameur d’église, au concile divin. Mais nos histoires sont sédimentées dans la langue et il n’y a que des Katherine Weinland pour y voir les couches d’un passé à « dépoussiérer ».

Telle est l’origine du mot laïque : il désigne l’ecclesia, les membres de l’Église ou peuple de Dieu à l’exclusion de ceux qui, ayant entendu un Appel plus pressant, sont devenus clercs, c’est-à-dire – j’y reviendrai – séparés. Clergé régulier, clergé séculier et laïcs, tous membres de l’Église, c’est de là qu’il faut partir.

Vous me direz que les mots ont changé de sens et que laïcité désigne pour nous, aujourd’hui, la séparation du politique et du religieux. Voire. Cette histoire-là aussi est bien ancienne. Ce n’est pas la Troisième République, ni même Condorcet, qui ont inventé la chose. Elle remonte à 586 avant Jésus-Christ, première destruction du Temple. Privés de pouvoir politique, les Juifs ont attendu jusqu’en 1947 pour pouvoir construire, quoi ? un état laïque, le seul de la région avec la parenthèse irakienne, qui n’en a plus pour très longtemps. Pendant 2533 ans, le peuple élu a vécu la séparation du politique et du religieux, non sans souffrances, on le sait. Sans Juges et sans Rois. Avec pour seul appui, la promesse du Livre.

Et les chrétiens eux-mêmes n’ont-ils pas eu pour mot d’ordre la séparation, le partage des Royaumes ? A César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu, parole du Christ. Et qu’est-ce qu’un clerc ? Un séparé par le sort, kleros, par le coup tiré. On est prêtre par un coup du sort, un appel. Kolaphos en grec, colpus en latin, golpe en espagnol, le coup, le couperet, la coupure : c’est l’étymologie de clergé, des séparés à l’intérieur même du laos chrétien.

La confessionnalisation des états contre quoi se sont battus les partisans de la laïcité au sens contemporain est chose beaucoup plus récente. Elle commence dans les années 1560-1570 dans une Europe ravagée par les guerres de religion. Réforme et Contre-Réforme. Cujus regio ejus religio, un autre partage, une autre séparation, politique et géographique (roi et région ont même étymon) pour mettre fin à la guerre civile des religions. Quoi que nous puissions en penser aujourd’hui, ce fut une bonne chose, la meilleure dans le meilleur des mondes, au sens leibnizien bien sûr. Puis vinrent les Lumières. Certains pensèrent qu’il convenait de séparer ce qui venait d’être uni deux siècles avant : l’Église et l’État. Pourquoi pas ? La guerre ne menaçait plus entre catholiques et protestants et l’alliance du trône et de l’autel, du sabre et du goupillon, présentait plus d’inconvénients désormais que d’avantages. Mais il est une chose que les plus républicains d’entre nous ne devraient point oublier : l’Europe des États n’existerait pas, faute d’États, s’il n’y avait d’abord eu ce processus de confessionnalisation. Louis XIV, celui qui révoqua l’Édit de Nantes, fut le premier Jacobin.

Tout ce que je viens de dire est histoire faite, finie. Elle ne se répètera pas. Jamais le temps ne revient sur ses pas. Mais il convenait, je crois, de le dire. Car nous parlons de choses qui s’inscrivent dans la longue, la très longue, durée. Il faudrait en retenir au moins ceci : le laos d’aujourd’hui n’est certes plus le laos athénien ni celui des Septante mais il n’est pas davantage celui de Combes ou de Condorcet. La confessionnalité des États n’est plus et, par conséquent, la laïcité à l’ancienne a cessé, elle aussi, d’avoir place dans la polis démocratique. Reste le laos, car c’est toujours lui, le problème. La démocratie peut être détruite, on en a maint exemple. Mais pas la laocratie. Le peuple en tant que laos ne peut être dissous puisqu’il l’est déjà, atomisé, non assemblé par un Appel symbolique.Le pire ennemi du peuple, c’est devenu le peuple lui-même, le laos qui est en train de défaire le demos au sein même des démocraties contemporaines.

On commence à peine à mesurer l’impact de la fin du communisme. Repoussoir pour les uns, espoir pour les autres, peu importe. Mais ce qui est sûr, c’est qu’à deux siècles exactement de distance, la chute du Mur de Berlin a répondu à la Prise de la Bastille, bouclant ainsi la boucle de la Révolution. Or la Révolution aura été, au cours de ces deux siècles, la clameur du laos. Un opérateur symbolique qui, comme le montre Milner, a permis pour la première fois de penser ensemble la révolte et la pensée. « Révoltes logiques », avait dit Rimbaud, repris par Rancière. « On a raison de se révolter », clamions-nous naguère, et déjà en vain, aux portes des usines.

Faute de messianisme révolutionnaire, on nous appelle à la grand messe du marché. C’est cela, l’individualisation des conduites et des comportements, inséparable de la nouvelle démocratie : triomphe du laos, en tant qu’il signifie l’éparpillement du demos. Et ce processus affecte pareillement toutes nos institutions, l’État, l’Église, l’École, les députés et les ministres, les prêtres et les professeurs, progressivement remplacés par les démagogues du sondage d’opinion, les funambules de la foi et les gourous de la pédagogie. Ce processus s’appuie sur l’effondrement des structures symboliques de la culture et promeut le présent sans ancrage d’un imaginaire où l’individu se croit d’autant plus lui-même qu’il ressemble comme une goutte à son alter ego dans le miroir : de là qu’on puisse si facilement passer de l’individualisme au communautarisme, de la certitude de soi à la noyade dans la secte, du mirage de l’identité personnelle à l’illusion identitaire dans un demos d’emprunt.

Il y a aussi un imaginaire de la laïcité et je ne suis pas sûr que nous en soyons tous conscients. Il s’appuie comme tout imaginaire sur un manque à savoir. Ignorance de l’anthropologie, ignorance de l’histoire. Prétendre que l’État ou l’École n’ont rien à connaître d’un religieux qui relèverait des convictions personnelles des individus, est une aberration anthropologique : il est évident que toute religion est, et ne peut être, que publique. C’est un phénomène collectif par définition, le noyau dur des cultures. Et il n’y a que les chrétiens d’aujourd’hui pour y voir, à cause de la problématique du salut individuel, une affaire qui se règle, à l’intérieur de la conscience de chacun, entre la personne et son Dieu : car même les catholiques sont en train de devenir protestants. Prétendre que la loi de 1905 ne laisse en face à face que l’État d’un côté et, de l’autre, une poussière de croyants individuels est une erreur historique. On confond alors la tentative avortée des thermidoriens et la loi de séparation de la Troisième République : car celle-ci ne fait pas de la religion le produit des croyances personnelles des individus, hors institution ; elle range l’institution de l’Église dans la société civile, ce qui n’est pas du tout la même chose.

« On peut tout enseigner », disait Condorcet. Tout ce qui est de l’ordre du savoir, bien sûr. Je ne vois donc pas pourquoi l’école ne devrait pas enseigner les savoirs que, sur le phénomène religieux, l’anthropologie, l’histoire et même la théologie ont permis d’accumuler au long des siècles. On peut discuter des modalités, bien sûr. Mais sur le principe lui-même, je ne vois pas en quoi la laïcité de l’école trouverait à y perdre. Bien au contraire. Je pense même qu’il s’agit d’une nécessité d’autant plus impérieuse que l’Église, enfoncée dans la même crise que l’école, semble vouloir renoncer à transmettre son propre savoir.

Tout enseigner oui, mais seulement ce qui est enseignable, des savoirs. C’est-à-dire ce qui se construit contre le sens. Lévi-Strauss l’a bien montré : tout savoir, même le plus primitif, s’est toujours construit contre l’imaginaire du sens. Et s’il y a aujourd’hui une infiltration du religieux dans l’école c’est à l’espéranto sans couleur des pédagogues que nous le devons. Aux gourous de la pédagogie. Je veux parler de cette chansonnette du sens qu’il faudrait donner aux savoirs. La dation du sens, tel est aujourd’hui le nouveau catéchisme. Or le sens n’a pas à être donné puisqu’il est du déjà-là, effet imaginaire de l’organisation symbolique des signifiants. C’est du déjà donné pour l’infans. En psychanalyse, l'infans, terme de Sándor Ferenczi, désigne l'enfant qui n'a pas encore acquis le langage, francisation du latin infans, infantis, désignant le très jeune enfant qui ne parle pas. Formé de in- préfixe négatif et du participe présent de fari « parler », cette racine se retrouve dans aphasie, fable, par exemple. Et ce, dès la première articulation des signifiants de la langue : O-A, le fort-da freudien, celui qui fait sens pour le petit Hans et lui permet de contrôler avec sa bobine les éclipses maternelles. Contrôle aussi imaginaire bien sûr que celui qu’exerce par sa prière ou ses œuvres tout bon catholique sur la grâce de Dieu. Faire du maître un intercesseur, c’est-à-dire un prêtre, chargé de donner à l’élève le sens des savoirs, construire un face à face imaginaire entre le professeur et l’élève tous deux victimes de la fascination du sens, est une opération religieuse en tant que telle. Elle empêche toute transmission des savoirs, puisque le sens ce n’est pas ce dont on manque, bien au contraire. Du sens, il y en a toujours à revendre, il prolifère de lui-même et c’est contre la surabondance du sens que l’humanité a patiemment réussi à construire au long des millénaires cet édifice des savoirs aujourd’hui en péril. Défendre toujours et en toutes circonstances l’autonomie des savoirs, et donc des disciplines, contre la religiosité diffuse de la dation de sens, tel devrait être aujourd’hui le premier objectif stratégique de la nouvelle laïcité. Car le fondement philosophique de la pédagogie du sens n’est autre que la phénoménologie chrétienne de la conscience.

Que nous est-il permis d’espérer ? un trait de lumière dans cette grisaille, la force de penser, dans une configuration non révolutionnaire, la conjonction de la révolte et de la pensée, un opérateur symbolique refondant un demos, un peuple à venir au lieu de ce qui nous afflige : une religiosité sans église ni clameur, l’idiotie d’un laos sans appel. C’était mon appel au peuple.

Le dème (en grec ancien δῆμος / dêmos) est une circonscription administrative de base instaurée lors de la révolution isonomique de Clisthène qui eut lieu de 508 ou507 à 501 av. J.-C. à Athènes. Le dème est directement lié à la marche d'Athènes vers la démocratie.
Étymologie: de dêmos*, « peuple » et kratos, « puissance », « souveraineté ». Régime politique fondé sur le principe que la souveraineté appartient à l'ensemble des citoyens , soit directement (par des référendums) soit indirectement par l'intermédiaire de ses représentants élus. Les élections doivent se tenir au suffrage universel, de façon régulière et fréquente
La démocratie suppose l'existence d'une pluralité d'options et de propositions, généralement incarnées dans des partis et des leaders ayant la liberté de s'opposer et de critiquer le gouvernement ou les autres acteurs du système politique. Les partis sont devenus au fil des ans, des alliances non démocratiques, qui n’ont pas à rendre de comptes aux Citoyens, à tel point que le sulfureux Queuille, montre bien la limite de la Démocratie avec les partis. En fait les partis sont unne aberration du mode Démocratique. Il faut y substituer des alliances avec l’obligation pour les signataires de remplir leur feuille de route avec un échéancier précis. 

« Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. »


Cette petite phrase, oh combien d’actualité, est pourtant due à un homme politique. Elle est du petit père Queuille, en réalité Henri Queuille, plusieurs fois président du conseil (même pendant deux jours en 1950) et également ministre des finances et de l’intérieur sous la 3eme république. Il fut même ministre et secrétaire d’Etat plus de trente fois ! Un véritable professionnel de la machine politique, et sa fameuse petite phrase est incontestablement le fruit d’une expérience professionnelle riche.
Une démocratie existe donc qu'en autant qu'on y trouve «une organisation constitutionnelle de la concurrence pacifique pour l'exercice du pouvoir» (Raymond Aron).

La démocratie exige aussi que les grandes libertés soient reconnues: liberté d'association, liberté d'expression et liberté de presse. Juridiquement, une démocratie s'inscrit dans un État de droit; culturellement, elle nécessite une acceptation de la diversité.

Les Illuminati sont une “élite dans l’élite”. C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations. Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. C'est l'émanation ultime de la Franc-Maçonnerie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

La création des Illuminati marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est “occulte”.

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes tel que les Skull and bones où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité.

Leurs agents sont éduqués et entraînés pour être placés dans les coulisses à tous les niveaux de gouvernements. En tant qu’experts et conseillers, ils forment les politiques gouvernementales afin de faire avancer leurs plans secrets.

Ils demeurent toujours dans l’obscurité et l’anonymat, et généralement personne ne les soupçonne. Ils utilisent tous les peuples pour servir leurs desseins machiavéliques. Ils divisent pour mieux régner, fournissent les armes et de l’argent aux deux côtés d’une guerre, encourageant les gens à se battre et s’entre-tuer, dans le but d’atteindre leurs objectifs. Ils encouragent le terrorisme et la guerre atomique et provoquent délibérément les famines mondiales. Leur premier but est de former un gouvernement mondial pour avoir le contrôle complet du monde entier, en détruisant toutes les religions et tous les gouvernements.

De nombreuses guerres, y compris la Révolution française, les guerres mondiales, aurait été organisées par les Illuminati, qui opéraient sous différents noms et déguisements. Annie Lacroix-riz, historienne, souligne d’ailleurs très bien ces manipulations dans son livre “le choix de la défaite” en amassant de très nombreuses et solides preuves issu des archives de guerres.

La troisième guerre mondiale devra être fomentée en utilisant l’opposition entre les sionistes (les partisans de l’Etat d’Israël) et le monde musulman. Cette guerre sera dirigée de sorte que l’Islam et Israël se détruiront mutuellement, tandis que le reste des nations du globe, divisées sur cette question, seront forcées d’embarquer aussi dans cette guerre, jusqu’à l’épuisement physique, mental, spirituel et économique complet. Tout sera alors mis en place pour l’établissement d’un gouvernement mondial.

réalité ou folie ? le futur nous le montrera mais il faut souligner que ces dernières années, de très nombreuses preuves de manipulation, de fuites, de complot révélés au grand jour ou de mensonges organisés nous indique clairement que la réalité se mêle intimement à cette folie. Les nombreuses pièces du puzzle semblent étrangement s’assembler pour former un “tout” cohérent.

Source : http://www.prolognet.qc.ca/clyde/illumina.htm

Source : http://www.syti.net

Influence de la Franc-maçonnerie

Ce groupe réuni tous ceux qui veulent redonner le Pouvoir au Peuple, avec Dieu comme Partenaire, ce qui n'est pas le cas dans la Démosophie.

 	 Platon marque les débuts de la philosophie  SECTION PHILOSOPHIQUE sur la LAOSOPHIE gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le Peuple
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Platon marque les débuts de la philosophie SECTION PHILOSOPHIQUE sur la LAOSOPHIE gouvernement du Peuple par le Peuple et pour le Peuple

Platon marque les débuts de la philosophie en tant que connaissance rationnelle du monde. Dans un certain sens, on peut dire que toute la philosophie n'est, par la suite, qu'une tentative de répondre aux questions qu'il avait posé/ Le platonisme garde toutefois un aspect mystique, ce qui lui valut d'être "adopté" par les premiers penseurs chrétiens. L'influence de Platon fut toutefois supplantée par celle de son élève Aristote, philosophe plus logique et "terre à terre", pendant le moyen âge. Sa philosophie fut redécouverte par la Renaissance humaniste et on peut considérer la philosophie de Descartes comme un retour à "Platon" après des siècles d'Artistotélisme.

Platon naît à Athènes d'une famille aristocratique. En -407, il rencontre Socrate, dont il suivra l'enseignement pendant huit années. Platon se destinait aux affaires politiques, mais la condamnation à mort de Socrate en -399 par les démocrates le détourne de ce projet. Il n'assiste pas derniers moments du philosophe et quitte Athènes. De cette époque date son projet de repenser les problèmes politiques. Il effectue une série de voyages, se rend en Italie où il rencontre les pythagoriciens.

De -388 à sa mort, Platon oscille entre Athènes et la Sicile. Il veut convertir le tyran Denys 1er, l'ancien à ses idées politicophilosophiques, mais il se brouille avec lui, est exilé et même vendu comme exclave. En - 387, racheté et libéré, Platon revient à Athènes et fonde l'Académie, première grande école de l'Antiquité. Après des rappels et exils successifs en Sicile, il meurt à Athènes en - 347.

Avant Socrate, les philosophes "pré-socratiques" sont des philosophes de la nature. Ils s'intéressent surtout à l'analyse physique du monde. Au temps de Platon, Athènes est encore une cité à son apogée (héritage du "siècle de Périclès). La vie culturelle se concentre autour d'Athènes où la démocratie voit le jour. Il est nécessaire d'éduquer le peuple. Des philosophes - les sophistes - vont "enseigner" aux citoyens riches. Ils critiques les mythologies et s'intéressent à l'Homme dans la société. Pour eux, le Bien et le Vrai ne sont pas des normes absolues ; ce qui compte ce sont les besoins de l'Être humain.

Face aux riches sophistes, Socrate proclame que la connaissance ne s'enseigne pas. La vraie connaissance vient de l'intérieur et l'Homme peut accéder aux vérités philosophiques s'il se sert de la raison. Sa mort affecte Platon, qui y voit une contradiction fondamentale : la réalité de la société s'oppose à la Vérité de l'Idée, qui doit empêcher une cité de condammenr à mort les Hommes les plus justes.

Les ouvrages : Gorgias (v-387) Dans ce dialogue, Platon s'élève contre la rthétoirque, art mensonger, qui abuse de la puissance des mots et donne le pouvoir aux tyrans. Il lui oppose la philosophie, dont le but est de rendre le peuple meilleur.

Ménon (v - 387) Après le Protagoras, une oeuvre de jeunesse, Platon tente de définir ce qu'est la vertu et si elle peut s'enseigner.

Phédon ( v -385) Ce dialogue met en scène les derniers instants de Socrate. Avant de boire la ciguë, Socrate expose à ses disciples sa croyance en l'immortalité de l'âme.

Le Banquet (v-385) Cet ouvrage fondamental de Platon traite de l'amour. Le philosophe y évoque le mythe des Androgynes : autrefois, les êtres humains possédaient les deux sexes. Mais Zeus, pour les punir d'avoir cherché à escalader le ciel, les sépara en deux. Depuis, chaque moité recherche l'autre.

La République (entre -385 et - 370) C'est sans doute l'oeuvre majeure de Platon. A partir d'une définition de lajustice, Platon tente de déterminer ce que serait le gouvernement idéal. Il distingue trois classes de citoyens et analyse les différents types de régimes politiques. Pour se rapprocher du gouvernement idéal, la cité devrait se doter d'un philosophe-roi. De la politique, Platon passe à la métaphysique. Il établit la distinction entre un monde intelligible et un monde sensible, pose le Bien comme valeur suprême et illustre sa théorie par la fameuse allégorie de la caverne.

Théétète (v-368) Platon tente de démontrer qu'une connaissance objective est possible, contrairement aux philosphes qui affirmaient la relativité de toute science, comme le sophiste Protagoras ou Héraclite. Parménide (v-367) Dans cet ouvrage, l'un des plus techniques de Platon, le PHilosophe tente de répondre aux critiques qu'à suscitées sa théorie des Idées. Il examine en particulier quel est le rapport entre les Idées et les choses.

Démosophie par le mouvement du 14 Juillet 2015

Putsch du 14 JUILLET 2015 par Eric Fiorile

La Démocratie et donc la démosophie (du grec ancien σοφία, Sophia la sagesse) est une assemblée politique, un parti au sens Démos Kratos, pris dans le Peuple global Laos, et donc une représentation du Peuple avec les lois qu'elle se donne, et dans notre cas c'est un Putsch non représentatif des Français. (voir : Michel Tozzi Concept de la Démosophie 1970.)

Le terme démocratie (du grec ancien δημοκρατία / dēmokratía, « souveraineté du peuple », combinaison de δῆμος / dêmos, « peuple » et κράτος / krátos, « pouvoir », « souveraineté » ou encore kratein, « commander »), est le régime politique dans lequel le peuple est souverain. (Avec la distinction à faire entre la notion de «peuple» et celle plus restrictive de « citoyens » : en effet la citoyenneté n'est pas forcément accordée à l'ensemble de la population). La première démocratie connue est la démocratie athénienne avec comme base primordiale le tirage au sort en politique.

Sir Winston Churchill:  » La démocratie est le pire système de gouvernement à l’exception de tous les autres qui ont pu être expérimentés dans l’histoire ». La démocratie : Un pouvoir issu de Satan !, le terme démocratie dérive de «Démon» (Satan) et «Kratos» (Pouvoir). La démocratie est donc un pouvoir issu de Satan. Avez-vous remarqué que la plupart des personnes qui sont au pouvoir et qui défendent cette démocratie sont des membres influents des sectes que vous connaissez bien. Un pouvoir durable vient de Dieu et non de Satan. Dans Démo Sophie, ce n'est pas mieux, attons déjà vu la Sagesse d'un Démon?

Un des exemples les plus frappants d'une telle démarche est la manière dont des "objets" comme l'esclavage ou la position des Indiens d'Amérique, auxquels pourtant Tocqueville dédie certaines de ses pages les plus critiques, sont écartés de la définition de la démocratie : "Ils sont américains sans être démocratiques, et c'est, dit-il, surtout la démocratie dont j'ai voulu faire le portrait". Le peuple qui inflige aux "Indiens" et aux "Nègres" un sort que l'auteur dépeint des couleurs les plus sombres n'en est pas moins "un peuple démocratique". L'ambiguïté notoire du concept de démocratie atteint ici son point culminant : vue comme processus d'égalisation des conditions, la démocratie est cependant compatible avec l'existence de rapports sociaux voués, selon l'auteur lui-même, à un devenir inégalitaire. Le paradoxe est d'autant plus frappant que Tocqueville porte un regard de compassion nostalgique sur ces "aristocrates" de l'Amérique que sont les Indiens et qu'il s'identifie à ces barbares épris de liberté dont la résistance est vouée à l'échec.

Les médias de masse, de plus en plus soumis aux puissances d’argent, n’ont-ils pas encore gagné en importance dans l’organisation sociale ? Les dirigeants de nos démocraties (vidées de toute substance démocratique) ne sont-ils pas moins que jamais capables de gouverner sans eux ? Les élites intellectuelles, dans leur grande majorité, ne sont-elles pas toujours plus ouvertement au service des classes dirigeantes et d’un ordre social inégalitaire ? La défense des droits humains n’a-t-elle pas perdu toute signification au point que les plus (démocratiquement) défendus soient ceux d’être bête, inculte et malhonnête ? Ne paye-t-on pas au prix fort de la pire aliénation les bienfaits attendus des progrès techniques ? Et la réalité elle-même ne dépasse-t-elle pas la satire au point que la satire n’a plus d’objet tandis que la raison éducatrice continue de faire la preuve éclatante de ses limites ?

Malheureusement si Dieu est exclu de cette démarche cela sera obligatoirement voué à l’échec. Et si cela réussi et que le gouvernement est éjecté, la France tombera encore plus bas qu'elle ne l'est actuellement :

Rappel d’une prophétie de Marthe Robin pour la France :

« La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu’elle se sera choisis.Elle aura le nez dans la poussière. Alors elle criera vers Dieu, et c’est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. Elle retrouvera sa mission de fille aînée de l’Eglise et enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier. »

Donc n’espérons pas de secours de la part des hommes, même avec leurs meilleure volonté et même s’ils viennent du peuple et ne sont a priori pas corrompus. Le secours ne pourra cette fois ci venir que du Ciel.

Ensuite cela aura un tel rayonnement mondial que la foi reviendra parmi les hommes de toutes les nations.

Prions aussi pour que le Pape François consacre la Russie au Coeur Immaculé de Marie, tout sera lié en fait à cette consécration. C’est bien cette consécration qui à elle seule sera l’étincelle qui fera enfin advenir la paix.
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Livre d'Isaïe 26,1-6.
En ce jour-là, ce cantique sera chanté dans le pays de Juda : Nous avons une ville forte ! Le Seigneur a mis pour sauvegarde muraille et avant-mur.
Ouvrez les portes ! Elle entrera, la nation juste, qui se garde fidèle.
Immuable en ton dessein, tu préserves la paix, la paix de qui s’appuie sur toi.
Prenez appui sur le Seigneur, à jamais, sur lui, le Seigneur, le Roc éternel.
Il a rabaissé ceux qui siégeaient dans les hauteurs, il a humilié la cité inaccessible, l’a humiliée jusqu’à terre, et lui a fait mordre la poussière.
Elle sera foulée aux pieds, sous le pied des pauvres, les pas des faibles.


Dans ce texte, ce qu'il faut je pense entendre par "cité inaccessible" c'est la cité qui ne laisse plus de place à Dieu dans son coeur.

"à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu’elle se sera choisis"

La France a l'orgueil de vouloir s'en sortir sans l'aide de Dieu, en se choisissant des chefs qui ne sont que des hommes, corrompus, égoïstes, pervers, ... plutot que de bâtir leur nation sur le Roc qu'est la Parole de Dieu et le Christ Lui même. (lectures du jour également) Tant qu'elle ne le comprendra pas elle continuera de descendre jusqu'à mordre la poussière. Mais la Sainte Vierge finira par relever la France c'est l'objet de notre espérance et une promesse du Ciel à prendre au sérieux ! Et cela prouve que Dieu veut nous sauver, par Marie, et ne nous condamne jamais.

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